Diversité corporelle : le fondateur de Lululemon critique l’entreprise

Au moins 3 millions de Québécois contracteront la COVID-19 cet automne.

Un exemple : celui du fameux trio Big Mac de McDonald. Une fois livré, son prix a presque doublé.

Ce résident de Brossard fait face à de multiples accusations de voies de fait en lien avec deux plaignantes.

Sa marionnette noire lui avait valu l’an dernier des commentaires qu’il juge « diffamatoires ».

L’ancien maire de Montréal a récemment envisagé de faire le saut en politique provinciale.

Chip Wilson a exprimé son dégoût pour toute la diversité et l’inclusion de Lululemon, lors d’une entrevue au magazine américain Forbes.

Il croit que les autres personnes que l’entreprise dépeint dans ses petites annonces sont malades, maladives et ennuyeuses.

Wilson pense que Lululemon imite Gap dans le sens d’être tout pour tout le monde. Lululemon a refusé de commenter ses commentaires.

L’homme d’affaires avait déjà suscité la controverse en 2013 lorsqu’il avait déclaré à Bloomberg que le corps de certaines femmes n’était pas compatible avec les produits de l’entreprise après que Lululemon eut retiré certains de ses pantalons de yoga, craignant qu’ils soient trop transparents.

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