Les dirigeants de Gandhi rendent hommage pieds nus

A force de dépenses en services, le réseau du Témiscamingue a été repeuplé.

L’attachement proverbial des Québécois au consensus a fait des ravages cette semaine.

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Selon nos informations, ce scénario sera résolu dans les 48 heures.

Le ministre de l’Environnement désignera un comité d’experts sur l’adaptation aux changements climatiques.

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Leur hôte, le Premier ministre Narendra Modi, les a accueillis un par un, avec une accolade ou une poignée de main chaleureuse, à Raj Ghat, l’endroit où le Mahatma a été incinéré en janvier 1948, le lendemain de son assassinat par un idéologue nationaliste hindou.

Chacun inclina la tête devant la tête de l’Indien afin qu’il leur ceinture le cou d’une étole de couleur crème.

Le Premier ministre indien les attendait devant une immense photographie couleur de l’ashram de Sabarmati, la retraite spirituelle où Gandhi a longtemps vécu, située dans l’État du Gujarat, d’où Modi lui-même est originaire.

L’ashram est un poste que de nombreux dirigeants ont visité lors de leurs voyages officiels en Inde, comme l’ancien président américain Donald Trump en 2020 ou l’ancien Premier ministre britannique Boris Johnson en 2022.

Les dirigeants du G20, dont le Premier ministre britannique Rishi Sunak et le président français Emmanuel Macron, ont ensuite été invités à s’inscrire pieds nus devant Modi devant une plaque de marbre noir ornée de guirlandes d’œillets orange et jaune. Là, une flamme éternelle célèbre la réminiscence de la non-violence de l’apôtre indien.

Le président américain Joe Biden fait partie des chefs d’État et de gouvernement qui aimaient opter pour des chaussons en feutre pour se déplacer, où les chaussures sont interdites en signe de respect.

Après l’exécution d’un hymne hindou, ils ont observé une minute de silence devant les couronnes funéraires envoyées à travers le pays.

Le monument est l’un des sites les plus sacrés de la capitale indienne, où plus d’un million de personnes ont suivi les restes de Gandhi après son assassinat. Depuis lors, les dignitaires de l’État indien y ont été incinérés.

À la clôture du sommet du G20 dimanche, le président brésilien Lula a remercié Modi, avec un sanglot dans la voix, de lui avoir donné l’occasion de rendre hommage à Gandhi.

Dans ma vie politique, le Mahatma Gandhi est très important. La lutte pour la non-violence est un exemple que j’ai suivi pendant de nombreuses décennies lorsque j’étais dans le mouvement syndical industriel.

C’était une prière multiconfessionnelle que Mahatma Gandhi ait été assassiné par Nathuram Godse, un hindou enthousiaste qui ne supporte peut-être pas son attitude d’apaisement envers les musulmans du pays.

Alors que Modi s’est abstenu de soutenir les militants nationalistes cherchant à réhabiliter la réminiscence de Godse, qui a été exécuté en 1949, il ne l’a jamais explicitement condamné.

Le Premier ministre nationaliste hindou a profité du sommet de New Delhi pour porter la plaque de son pays connue sous le nom de Bharat. Cet autre appel à l’Inde remonte à d’anciens textes hindous écrits en sanskrit, et son utilisation par l’intermédiaire de M. Modi est la plus puissante. Il y a encore des signes d’un remplacement possible du terme anglais hérité du passé colonial de l’Inde.

Les hindous constituent l’écrasante majorité des 1,4 milliard d’habitants de l’Inde, mais de nombreuses minorités pieuses, en particulier les plus de deux cents millions de musulmans, craignent que Modi ait besoin de transformer le pays en une nation hindoue.

Le G20 a officiellement accueilli samedi l’Union africaine (UA) dans ses rangs, un signal pour l’Afrique et une victoire diplomatique pour l’Inde, qui semble être le leader des pays du Sud.

Narendra Modi, qui a mené l’initiative, retrouve ainsi son symbole à l’étranger, probablement avant un nouveau mandat lors des élections nationales de l’année prochaine.

Il a également réussi à amener les participants au Sommet à faire une déclaration finale, parvenant à un consensus au sein du G20 pour les concessions requises.

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