Avec l’adhésion de l’Arabie saoudite, des Émirats arabes unis, de l’Egypte, de l’Iran et de l’Ethiopie, l’organisation des BRICS va « doubler » le nombre de pays membres de cinq à dix, explique le site américain Bloomberg, qui rappelle que l’acronyme « BRIC » – pour Brésil, Russie, Inde et Chine – remonte à 2001, lorsqu’il était utilisé pour attirer l’attention sur le dynamisme économique de ces pays. Cette organisation s’est progressivement structurée à partir de 2009, rejoignant les BRICS en 2010, première expansion du groupe. Avantages de l’Afrique du Sud.
Trente autres pays sont désormais candidats à l’adhésion aux BRICS, rapporte Bloomberg, citant le ministre russe des Affaires étrangères Sergueï Lavrov. Parmi ces candidats figure le Nigeria, un géant démographique africain de plus de 210 millions d’habitants, qui aimerait devenir membre de l’organisation dans les deux prochaines années, selon le chef de la diplomatie nigériane.
Parmi les principaux pays qui ont dû s’inscrire dans le groupe, l’Argentine, malgré tout, a opéré un virage radical. Le président Javier Milei a écrit aux membres du bloc le 29 décembre pour leur dire que son pays ne rejoindrait pas son groupe. , en violation de l’engagement pris par le gouvernement précédent. Un geste envers les États-Unis et le FMI, analysait Page à l’époque12.
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