Avec l’aide de machines de décryptage de la société suisse Crypto AG, de la CIA américaine et du BND, les services de renseignement ouest-allemands de l’époque, ils ont pu lire les messages des gouvernements pendant des années. La Belgique ne faisait pas exception à la règle et, contrairement à d’autres alliés, elle n’était pas autorisée à collaborer avec les Allemands et les Américains. C’est ce qui ressort clairement d’une enquête réalisée par De Tijd.
En fin de compte, les Américains et les Allemands espionnent les communications belges depuis des années.
Douloureux : les services de renseignement belges n’ont pas été impliqués dans le projet.
(SR)