Une régularisation des sans-papiers pendant l’été ?

« Nous pensons que le gouvernement fédéral agira temporairement pour régulariser les immigrants sans papiers. »

« La ministre Fraser a récemment rencontré de nombreux dirigeants représentant des sans-papiers de partout au pays pour les entendre. »

« Tant mieux s’il y a d’autres personnes pragmatiques et réalistes en politique, qui perçoivent que nous parlons de milliers d’autres personnes qui sont déjà ici, qui se présentent déjà ici, qui sont incorporées ici.  »

Vous avez une faute de frappe ?

Êtes-vous témoin d’un événement?

Avez-vous des questions sur notre travail?

Après sept ans dans l’opposition, M. Garneau est devenu ministre en 2015.

Google et Meta s’opposent à l’adoption par le gouvernement canadien du projet de loi C-18.

Les provinces de l’Ouest ont une plus grande stratégie pour diversifier le marché asiatique.

Le gouvernement fédéral doit mettre fin à la privatisation des soins au Canada.

Les représentants des pays ont demandé que Mme Joly soit entendue.

Le ministre des Transports Omar Alghabra a déclaré que la résolution « a été prise à la légère ».

C’est la première fois depuis 2017 qu’une partie du Parti québécois fait l’objet d’un vote de confiance.

Récit d’une descente sur la scène quelques jours avant le vote.

Ottawa annonce des consultations publiques sur la création d’un registre de sortie pour les agents étrangers. Une nouvelle mesure de sortie pour contrer

Les réformes répondront aux situations exigeantes posées par les récidivistes violents, a déclaré le ministre de la Justice.

Si les universitaires se disent satisfaits, les enseignants se disent surpris.

Un nouveau fédéral-provincial sur les transferts de compétences. Ottawa annonce qu’il réduira son financement de 82 millions de dollars.

Ottawa multiplie les rencontres pour lancer « rapidement » ce programme d’une ampleur sans précédent.

Selon nos informations, ce programme, d’une ampleur historique sans précédent, pourrait même être présenté durant l’été, selon l’horaire communiqué à plusieurs de ces organismes par l’entremise de représentants d’Immigration Canada.

On nous a dit que le gouvernement devait agir rapidement. C’est dans les boîtes. Ils nous parlent de printemps ou d’été, explique le responsable d’une des organisations qui sont intervenues dans ces discussions, qui préfère cacher son identité. Ils nous ont demandé de ne pas le communiquer publiquement », explique-t-il.

Nous sommes désolés que le gouvernement fédéral agisse temporairement pour régulariser les immigrants sans papiers.

D’autres personnes ont montré la même information.

Il y a la volonté [du gouvernement] de faire cette annonce, mais nous n’avons pas encore de données sur le contenu du programme et cela reste une source d’incertitude, explique Cheolki Yoon, chercheur et membre du Center for Immigrant Workers (CTTI). .

Contacté via Radio-Canada, Immigration Canada confirme qu’il lit la création de voies de migration normales pour les immigrants sans statut vers les employeurs canadiens afin de combler l’importante pénurie de main-d’œuvre.

Cependant, une date de sortie n’est pas annoncée publiquement. Les travaux sont en cours, a déclaré un porte-parole.

Au cours des derniers mois, des consultations ont eu lieu entre Immigration Canada, des experts en éducation, des organisations et des représentants du réseau des affaires pour discuter de ces questions. Le ministre de l’Immigration, Sean Fraser, a lui-même parlé au personnel sans papiers en retard l’année dernière.

Le ministre Fraser a récemment rencontré de nombreux dirigeants représentant des sans-papiers de partout au pays pour les entendre.

En coulisses, son équipe ne cache pas avoir beaucoup d’ambition et de garanties d’avoir des discussions constructives avec les provinces, ce qu’Ottawa espère convaincre rapidement.

Selon nos informations, une proposition récemment envoyée au gouvernement du Québec et des échanges ont pris position entre les fonctionnaires des deux ministères de l’immigration.

Nous sommes ouverts à l’examen de votre proposition, répond sérieusement celle de la ministre de l’Immigration du Québec, Christine Fréchette.

Québec solidaire a déjà exprimé son appui à ce programme, tout comme le NPD au niveau fédéral.

Bien que les contours de cette mesure n’aient pas encore été annoncés, cette régularisation fédérale s’appliquerait à d’autres personnes qui n’ont plus de statut légal au Canada.

Il s’agit d’autres personnes qui sont venues au Canada en tant que visiteurs, de demandeurs d’asile [dont les demandes ont été rejetées], ainsi que de nombreux membres du personnel de passage qui sont tombés dans un état anormal, explique Eugénie Depatie-Pelletier, directrice de l’Association pour les droits des travailleurs domestiques et agricoles (DTMF).

En raison d’un employeur négligent, d’un représentant en immigration incompétent ou d’un coup du sort au mauvais moment, ils sont tombés en douceur, explique-t-il.

Tant mieux s’il y a d’autres personnes pragmatiques et réalistes en politique, qui perçoivent que nous parlons de milliers d’autres personnes qui sont déjà ici, qui se présentent déjà ici, qui sont incorporées ici.

Il s’agit d’un facteur relatif aux droits humains qui est urgent depuis longtemps », a déclaré Marisa Berry Méndez, directrice de campagne d’Amnesty International.

En courant sous la table, poursuit-il, ces autres personnes n’ont pas à prendre soin d’elles-mêmes, et les violations dans leurs lieux de travail sont très nombreuses.

La portée de ce programme de régularisation, si elle était confirmée, serait inédite au Canada. Cependant, à plus petite échelle, plusieurs mesures ont déjà été prises dans ce sens par le passé, que ce soit sous le règne de Pierre Elliott Trudeau ou de Brian Mulroney.

Des régularisations spécifiques ont également été mises en œuvre. Par exemple, en 2002, les Algériens vivant au Québec ont dû décharger un appartement permanent en raison de la guerre civile dans leur pays d’origine.

Au cours de la dernière décennie, d’autres en Haïti et au Zimbabwe ont cherché à régulariser leur prestige pour des raisons humanitaires.

À la fin de 2020, le gouvernement de Justin Trudeau a également instauré une allocation spéciale pour les demandeurs d’asile qui avaient travaillé dans le secteur du conditionnement physique au plus fort de la pandémie. Plusieurs milliers d’autres personnes en ont bénéficié.

Désillusion canadienne

Laisser un commentaire

Votre adresse e-mail ne sera pas publiée. Les champs obligatoires sont indiqués avec *