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Les trois pays doivent relancer leur coopération dans le cadre du Triangle de Weimar, mais restent divisés sur « l’autonomie stratégique ».
Par Jakub Iwaniuk (Varsovie, correspondance) et Philippe Ricard
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Près de deux ans après le début de l’invasion de l’Ukraine par la Russie, les dirigeants français, allemand et polonais réunis lundi 12 février à Paris, dans le cadre du triangle de Weimar, espéraient que la coopération trilatérale entre la France, l’Allemagne et la Pologne se lèverait contre Moscou, à Kiev. Ils se sont également engagés à lutter conjointement contre la « désinformation russe », quelques heures seulement après que le gouvernement français a révélé l’existence d’un réseau de sites appelé « Portail Kombat », créé pour diffuser des contenus pro-russes, conformément à la propagande du Kremlin.
Mais, surtout, les Européens ont dû se battre à distance contre Donald Trump, après qu’il ait porté un coup sérieux à l’Alliance atlantique et à la sécurité européenne. L’ancien président américain, candidat à sa réélection, avait déclaré la veille qu’il « encouragerait » la Russie à attaquer les États membres de l’OTAN s’ils augmentaient leurs dépenses de défense.
L’explosion de Donald Trump a interrompu l’escale à Paris puis à Berlin du Premier ministre polonais Donald Tusk, qui s’inquiète de la relance des relations avec ses homologues européens depuis son arrivée par la force en décembre 2023. ministres des 3 pays au Château de La Celle-Saint-Cloud (Yvelines).
Au fond, les dirigeants du Triangle de Weimar sont consternés par les déclarations du candidat républicain, dont ils redoutent déjà le retour à la Maison Blanche. Si Emmanuel Macron reste prudent, le chancelier allemand Olaf Scholz estime que « relativiser l’aide de l’Otan est irresponsable ». et dangereux, et ne sert que les intérêts de la Russie, » à l’heure où le président Vladimir Poutine mise sur la lassitude occidentale en Ukraine. » aboutir à une catastrophe « , a prévenu Tusk avant son déplacement à Paris et Berlin.
« L’Alliance atlantique n’est pas un contrat avec une société de sécurité », observe Radoslaw Sikorski à La Celle-Saint-Cloud : le responsable polonais des relations internationales rappelle que l’article 5 du Traité de l’Atlantique Nord n’a été activé qu’une seule fois, à la suite des attentats du 11 septembre 2001 opposés aux États-Unis. La Pologne s’inquiète alors pour l’Afghanistan et « n’a pas envoyé la facture à Washington », a-t-il rappelé, soulignant que son pays consacrait plus de 3% de son PIB à la défense et avait « le droit d’être défendu ».
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