n n n ‘. concat(e. i18n. t(« search. voice. recognition_retry »),’n
Les lycéens ont jusqu’au 14 mars pour formuler leurs vœux sur Parcoursup. Pour les aider à estimer leurs chances d’admission parmi les quelque 23 000 formations proposées, des nouveaux sites internet vulgarisent la masse d’informations disponibles en open data.
Un paradoxe : jamais auparavant l’offre d’enseignement supérieur n’a été aussi visuelle et en même temps aussi illisible. Au total, 23 000 formations scolaires sont proposées dans Parcoursup. Et désormais, une autre plateforme, Parcours Privé, recense également plus de 4 000 systèmes Parcoursup personnels extérieurs. Pour les familles, trouver la bonne éducation dans cet amas d’offres, c’est comme chercher une aiguille dans une botte de foin.
C’est justement pour faciliter ces peintures fastidieuses que Nagui Bechichi et Antoine Prévotat ont créé SupTracker à l’été 2022. Cette page en ligne « gratuite, sans publicité, sans sponsor et sans cookie » publie les connaissances ouvertes de Parcoursup de manière digeste et facile à utiliser. Les visiteurs peuvent consulter les statistiques de chacune des formations (nombre de candidats, classement des derniers candidats, pourcentage de boursiers, taux d’accès, etc. ), mais aussi comparer les profils de ceux qui sont intégrés à d’autres programmes, vérifier quelles carrières examinent leurs Les deux spécialités de l’école supérieure mènent tout au plus à, ou la répartition des autres profils de boursiers admis dans chacune des filières, en fonction de leur sexe, de la mention au baccalauréat, de l’académie d’origine, etc. Au total, une dizaine de ressources officielles alimentent la plateforme.
À lire aussiParcoursup : les 7 commandements pour vous guider dans la jungle de la formation post-bac
« SupTracker n’est pas un conseiller d’orientation. Son but est d’universaliser l’accès aux données publiques pour informer de manière transparente et sérieuse les familles », insiste Nagui Bechichi, chercheur en économie affilié à l’Institut des politiques publiques. Les deux fondateurs travaillent pour l’heure bénévolement sur la plateforme et commencent à chercher des financements extérieurs (institutionnels ou mécènes) pour entretenir et développer le site et préserver son modèle.
Un autre site, SupEasy, créé par Régis Fleurquin, enseignant-chercheur à l’Université de Vannes, va plus loin dans l’exploitation de l’open data de Parcoursup : il s’agit de [. . . ]
Lire la suite sur challenges.fr
Grandes écoles : des diplômés moins carriéristes et plus orientés vers « l’intérêt général », selon une étude
Compétition, enseignement, rythme. . . Que pensent les chercheurs de l’élégance préparatoire ?
Nicole Belloubet face à l’intenable promesse des groupes de niveaux
Mediapart : Edwy Plenel annonce quitter la direction le 14 mars