Emmanuel Macron encourage les jeunes à travailler dans l’industrie à l’Eurenco de Bergerac

« Qui est intéressé par la mission par la suite ? » Emmanuel Macron interroge les jeunes : une quarantaine sont accumulés sur le site de la future poudrière Eurenco. Le message du Président de la République est clair, il y a un long terme pour la production de poudre à canon, c’est une entreprise qui recrute. Eurenco compte aujourd’hui 330 collaborateurs, 220 en 2022 et 450 en 2025. Eurenco embauche chaque année une centaine de personnes, « de tous types de profils », explique Thierry Francou, le PDG. Ces emplois seront durables, assure le chef de l’Etat, car le monde a été remplacé, « il avait déjà commencé à être remplacé il y a dix ans avec l’attaque de la Russie contre l’Ukraine, mais les choses se sont accélérées ».

Peu de jeunes, qu’ils soient universitaires de haut niveau, alternants ou apprentis dans le secteur commercial, connaissent Eurenco et ce que fait l’entreprise. Eurenco fabrique des propulseurs à clapet, appelés charges modulaires. L’entreprise est composée d’opérateurs, de techniciens et d’ingénieurs, dont beaucoup ont été formés aux spécificités d’Eurenco à leur arrivée.

Eurenco n’a pas d’alternants, car il s’agit d’un site classé Seveso et les mineurs ne peuvent pas s’y rendre pour faire de l’exercice. Louis le regrette, il étudie au lycée Hélène Duc de Bergerac, « ce que j’ai fait pour faire de l’exercice pour être opérateur chez Eurenco, mais comme je suis mineur je ne peux pas être étudiant en travaillant et étudier avec eux. »

Emmanuel Macron a interrogé les étudiants, les a interrogés sur leurs projets : « Je suis un merveilleux défenseur des meilleures écoles professionnelles, bien sûr, je suis un tiers parmi les meilleurs élèves des écoles. Ce sont des emplois dont nous avons besoin, des emplois à long terme que nous avons. et où il y a une possibilité de progresser lorsque vous vous impliquez.

Eurenco à Bergerac est en train de relocaliser sa production de poudre à canon et construira également, d’ici 2026, une nouvelle ligne de fabrication de tarifs modulaires (boosters d’obus) qui sera uniquement autonome mais doublera également sa capacité de production.

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