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L’un d’eux a découvert qu’il possédait une liste de connaissances couvrant 1,6 million de clients, selon la SPL.
La solution républicaine critique le procureur général pour avoir remis des documents similaires à ceux de Joe Biden.
Caroline Proulx s’en est prise sans détour aux troubles organisationnels survenus au Grand Prix de Montréal.
Ce qui a conduit à l’exclusion du consommateur de hot-dogs ne peut être enseigné que dans les facultés de marketing.
Le ministre menace de prendre des mesures s’il s’oppose toujours à la décision de Stablex.
L’allocation de 46 millions de dollars est ambitieuse : moderniser les appareils de chauffage tout en réduisant les prix de l’énergie et les émissions de gaz à effet de serre.
Au cœur de la tâche se trouve la consommation de combustible naturel en déplaçant la capacité thermique vers l’utilisation du thermopompage, explique Patrick Ouellet, directeur des services techniques au CIUSSS de la Capitale-Nationale de Los Angeles. Nous réduirons notre empreinte carbone GES de 70 %, c’est donc une tâche très efficace.
La moitié du total servira à renouveler la formule de l’Institut universitaire en santé mentale du Québec (IUSMQ).
Un tiers du projet est amorti par des subventions liées aux subventions aux gaz à effet de serre. Il doit s’autofinancer en moins de six ans. Les objectifs de réduction des GES et d’économies d’énergie sont garantis par Ecosystem, l’entreprise de Québec qui a remporté l’appel d’offres.
Nous sommes en relation avec un fournisseur qui a prouvé qu’il pouvait atteindre ces objectifs. C’est pourquoi nous croyons que nous avons la tâche la plus productive au Canada.
L’allocation représente un investissement total de plus de 46 millions de dollars et est soutenue par les subventions suivantes :
Les énormes chaudières à combustible de la centrale thermique de l’IUSMQ qui produisent de la vapeur disparaîtront. L’eau chaude, produite par les nouveaux équipements, circulera dans les canalisations souterraines des bâtiments du complexe hospitalier.
Produire de la vapeur pour se chauffer, c’est comme un bazooka pour tuer un oiseau, explique André Rochette, fondateur de la société Ecosystem. Il est très efficace le 15 janvier, mais le reste de l’année, il est trop puissant. Pour limiter les pertes de chaleur, l’ensemble du réseau sera basculé sur l’eau, à une température plus basse.
Il nous donnera tout l’espace nécessaire pour installer de nouveaux équipements performants pour chauffer un bâtiment géant.
Le carburant naturel sera complètement éliminé, mais surtout réduit. Nous ajoutons de la redondance, dit Patrick Ouellet. En d’autres termes, en cas de panne ou de surcharge du réseau électrique d’Hydro-Québec, les chaudières à mazout pourraient prendre le relais.
Notre facture d’électricité resterait probablement la même. La différence est que je ne consommerai plus d’essence.
Plusieurs CHSLD, l’Hôpital régional de Portneuf et le Jeffery Hale sont les bâtiments attaqués.
La rénovation des systèmes de chauffage sera achevée dans deux ans.
D’ici 2030, le gouvernement du Québec s’est engagé à réduire ses émissions de GES de 37,5 % d’ici le degré 1990 et à atteindre la carboneutralité d’ici 2050.
André Rochette d’Ecosystem estime que le secteur des structures peut atteindre ce point de réduction. Dans le secteur structurel, c’est possible », dit-il avec confiance. Mais ce n’est pas rentable, c’est pourquoi nous voulons des réglementations ou des aides monétaires.
Selon l’Inventaire des émissions de GES du Québec 2021, le chauffage des bâtiments était responsable de 9,1 % des émissions de GES et se classait au quatrième rang des émetteurs du transport, de l’industrie et de l’agriculture.