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Le rapport de l’Agence internationale de l’énergie atomique confirme également que l’Iran a intensifié son enrichissement d’uranium, dépassant les stocks autorisés par l’accord de 2015.
Le Monde avec AFP et Reuters Publié le 11 novembre 2019 à 18h07, mis à jour hier à 06h00
L’Agence internationale de l’énergie atomique (AIEA) a détecté en Iran des « particules d’uranium naturel » dans un lieu qui n’avait pas été déclaré, selon un rapport consulté par l’Agence France-Presse (AFP), lundi 11 novembre, à Vienne. L’AIEA ne nomme pas ce site. Des sources diplomatiques ont expliqué auparavant à l’AFP que le gendarme du nucléaire avait posé des questions à l’Iran concernant un lieu signalé par Israël par le passé comme pouvant abriter des activités nucléaires supposées. Une source a aussi révélé que l’AIEA avait prélevé des échantillons sur ce site du district de Turquzabad, à Téhéran, au printemps.
Selon un diplomate travaillant dans la capitale autrichienne, le rythme de production d’uranium en Iran a considérablement augmenté pour atteindre plus de 100 kg par mois. Il pourrait encore s’accélérer dans les mois à venir.
Depuis mai, Téhéran se désengage progressivement de cet accord signé à Vienne avec les Européens, les Etats-Unis, la Russie et la Chine, qui autorise les inspections les plus poussées jamais accordées à l’AIEA.
C’est le président iranien, Hassan Rohani, qui avait annoncé la semaine dernière la reprise de l’enrichissement à Fordo. Il s’agit de la quatrième phase du plan de réduction des engagements iraniens, mis en place en mai en riposte aux sanctions américaines.
Ces activités à Fordo ont « des conséquences potentiellement graves en matière de prolifération », ont estimé les ministres européens, pour lesquels « il est désormais essentiel que l’Iran respecte ses engagements et travaille avec tous les participants au JCPoA [l’accord sur le nucléaire], afin de permettre une désescalade des tensions » au Moyen-Orient. « Nous voulons le préserver [l’accord], mais l’Iran devra retourner à ses obligations et les respecter, sinon nous nous réservons le droit d’user de tous les mécanismes inclus dans l’accord », avait déjà averti le ministre allemand des affaires étrangères, Heiko Maas, plus tôt dans la journée à Bruxelles.
Le texte comprend un dispositif long à appliquer mais pouvant mener jusqu’à un vote au Conseil de sécurité de l’ONU mettant un terme à l’allègement de sanctions visant l’Iran.
Les Occidentaux s’inquiètent de la baisse du « breakout time », c’est-à-dire du temps qu’il faudrait à l’Iran pour produire une bombe nucléaire s’il le décidait. L’accord fait en sorte que ce délai soit porté à une année, le temps jugé nécessaire par les Occidentaux à la préparation d’une éventuelle campagne de bombardements.
Mais au vu des récentes activités nucléaires iraniennes, « nous sommes entrés dans une phase d’aggravation significative », s’alarme une source européenne. « Nous constatons que la fenêtre d’opportunité pour une désescalade est en train de se rétrécir très sérieusement », dans une situation très tendue entre les Etats-Unis et l’Iran.
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