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Alors que ce mercredi 14 février, un hommage national sera rendu à l’ancien ministre de la Justice, décédé la semaine dernière à l’âge de 95 ans, le chef de l’Etat a promis d’expliquer, dans son discours, une éventuelle entrée de Robert Badinter au Panthéon. L’entourage d’Emmanuel Macron a déclaré à « France Inter », mardi 13 février, que le président de la République y était favorable.
Alors que ce mercredi un hommage national sera rendu à l’ancien ministre de la Justice, décédé la semaine dernière, l’entourage d’Emmanuel Macron a indiqué ce mardi 13 février à « France Inter » que Robert Badinter pourrait entrer au Panthéon.
A quelques heures de l’hommage à Robert Badinter, qui aura lieu mercredi 14 février, l’entourage d’Emmanuel Macron a déclaré à France Inter que le président de la République était favorable à l’accès au Panthéon du père de l’abolition. de la peine de mort.
Selon les médias, l’Elysée a présenté aux proches de l’ancien ministre de la Justice les autres modalités d’accès au Panthéon (une plaque, un cénotaphe ou une sépulture).
« Une équipe qui fonctionne dans la famille »
« C’est, comme toujours, une sélection qui appartient au cercle des proches et uniquement au cercle des proches », a déclaré à France Inter l’entourage d’Emmanuel Macron, qui n’a pas précisé de date limite.
« J’aurai l’occasion de prendre la parole lors de l’hommage national que nous organisons en famille », a répondu la semaine dernière le chef de l’Etat, après avoir été interrogé sur l’éventuel accès de Robert Badinter au Panthéon.
Emmanuel Macron présidera un hommage national à Robert Badinter, « sage » et « conscience républicaine », mercredi midi sur la place Vendôme, siège du ministère de la Justice, où l’ancien ministre de la Justice s’est exprimé sur l’abolition de la peine de mort.
Robert Badinter était « un grand homme »
Le chef de l’Etat a promis de parler, dans son discours, d’un accès imaginable de l’avocat, décédé la semaine dernière à l’âge de 95 ans, au Panthéon, le temple républicain qui proclame sur son fronton « Aux hommes merveilleux, à la patrie reconnaissante ». « .
Et Robert Badinter était « un grand homme », a acquiescé dès vendredi le président après l’annonce de la mort de l’ancien garde des Sceaux. « Ces choses-là prennent du temps », a-t-il toutefois souligné.
« La question est dans l’air. C’est général que tout le monde y pense », a expliqué mardi un membre de l’entourage d’Emmanuel Macron. « Mais c’est d’abord à la famille, dans sa liberté, de prendre le temps qu’elle juge nécessaire pour prendre une décision », a-t-il ajouté.
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