Le Premier ministre indien Narendra Modi sera l’invité d’honneur d’Emmanuel Macron le 14 juillet, symbole, selon l’Elysée, d’une coopération au développement entre Paris et New Delhi qui cherchent à jouer leur propre partition dans un concert de nations tendues et articulées autour de la rivalité Pékin-Washington.
De nombreuses ONG, ainsi que l’ONU, accusent le gouvernement Modi d’autoritarisme et de répression contre les musulmans. Regardez, a-t-il déclaré à l’AFP.
« Le Premier ministre Modi et son parti ciblent systématiquement les minorités, la presse indépendante, les partis politiques en conflit ou les organisations de défense des droits de l’homme », a déclaré Bolopon. « Un véritable rendez-vous stratégique entre les deux pays reposera sur des valeurs communes, telles que le respect de la démocratie et des droits de l’homme. », a-t-il déclaré.
Dans la classe politique, plusieurs cadres d’EELV ont également critiqué l’invitation VIP, la qualifiant de « grosse erreur politique d’Emmanuel Macron », ont écrit Marine Tondelier, le sénateur écologiste Guillaume Gontard et le député Aurélien Taché, lors d’un forum le 10 mai. dans Libération.