Rigueurs sévères liées aux troubles de l’alimentation

Nous et un nombre limité de nos partenaires publicitaires utilisons des cookies pour collecter certaines de vos connaissances et les utiliser pour vous ravir et vous montrer du contenu et des publicités personnalisés. Si vous n’êtes pas à l’aise avec notre utilisation de ces informations, veuillez consulter les paramètres de confidentialité de votre appareil et de votre navigateur (Nouvelle fenêtre) avant de procéder à votre visite. En savoir plus (Nouvelle fenêtre)

Selon une nouvelle étude, les mesures restrictives de remise en forme mises en place par la pandémie de COVID-19 sont liées à une augmentation des hospitalisations pour troubles de l’alimentation chez les adolescentes âgées de 12 à 17 ans. Nadia Roumeliotis, professeure au Département de pédiatrie de l’Université de Montréal, explique que son équipe s’est basée sur l’indice d’austérité des mesures de condition physique.

La Dre Nadia Roumeliotis, chercheuse clinicienne au CHU Sainte-Justine, indique que 60 % des cas de troubles de l’alimentation de l’étude ont été précédés d’une première hospitalisation. Selon elle, la solitude de la pandémie a beaucoup touché les adolescents.

« Se réunir en combinaison est incroyablement pour les adolescents [à cette époque de leur vie].   »

L’expert en pédiatrie explique pourquoi l’utilisation excessive des réseaux sociaux pourrait en être la cause.

Laisser un commentaire

Votre adresse e-mail ne sera pas publiée. Les champs obligatoires sont indiqués avec *