Dimanche, le président Emmanuel Macron a affirmé que la France était en mesure « d’intervenir » pour aider le Royaume, secoué par un tremblement de terre qui a tué plus de 2. 000 personnes et blessé plus de 2. 000, a rapporté l’AFP.
Pour l’instant, le gouvernement marocain a demandé une aide extérieure. Mais les promesses d’aide ont afflué dans le monde entier, y compris en France. Samedi, le chef de l’Etat avait déjà promis le jour X que la France prêterait main forte au pays maghrébin en cas de demande. Dimanche, en marge du sommet du G20, il a déclaré que « des équipes techniques et de sécurité » sont « mobilisées ». Il ne reste plus qu’à obtenir le feu vert du « gouvernement du Maroc ».
Dans l’après-midi de vendredi à samedi, le Maroc a secoué l’un des tremblements de terre les plus puissants de son histoire. Le séisme de magnitude 6,8 a frappé la région de Marrakech, tuant 2 012 personnes et en blessant plus de 2 000, selon une évaluation plus récente du ministère marocain de l’Intérieur.
Dimanche, Emmanuel Macron a annoncé que les pays membres du G20 avaient « mobilisé la Banque mondiale, le FMI, l’Union européenne et l’Union africaine pour la reconstruction et l’aide monétaire » au « peuple marocain ». ralentir le sauvetage de l’extérieur.
« Nous percevons ce blocus », a déclaré dimanche à l’Inter Arnaud Fraisse, fondateur de l’ONG Rescue Without Borders, ajoutant que la spéculation d’un tremblement de terre était « dévastatrice » en l’état. Seuls l’Espagne, la Grande-Bretagne, le Qatar et les Émirats arabes unis ont été autorisés à s’ingérer au Maroc.