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On est loin de l’ambiance des louanges et des fêtes du 29 juin dans les Prés de l’Elysée. Ce jour-là, le chef de l’Etat a accueilli, dans un environnement de pelouse à la mode, ces 150 autres élus au hasard Français personnes et a remporté son programme pour limiter l’accumulation du réchauffement climatique. Emmanuel Macron a ensuite accepté au plus les 149 propositions faites par l’intermédiaire de l’anonyme, à trois exceptions près, ajoutant un allègement de vitesse à 110 km/h sur l’autoroute. Mais depuis, le nombre de ces farceurs a augmenté.
Au fil des semaines, les ministres ont exprimé leur opposition à certaines des mesures prises par l’automobile dans les années 150, alors que des secteurs entiers de l’économie sont perturbés par l’épidémie de Covide. voitures, ainsi que l’écotase dans le transport aérien. Les propos d’Emmanuel Macron comparant les partis de guerre 5G aux Amish ont également fait frémir d’autres lorsque la CCC a proposé un moratoire sur la technologie.
Dans sa lettre, le Président a pris soin de rappeler les mesures de la Convention déjà inscrites dans les textes officiels: « Dès cet été, c’était au Conseil écologique de juillet pour approuver l’interdiction des terrasses chauffées et accélérer le départ de la commission des propositions « pilotée par (ses) propositions » avant de faire référence aux mesures approuvées dans le projet de loi de finances. La plupart des concepts de convention devraient être incarnés dans un texte qui sera discuté en décembre », à une date proche du cinquième anniversaire de l’Accord de Paris (
Le locataire de l’Elysée annonce également la création d’un baromètre : « Le gouvernement vous fournira, à vous et au Français, un véritable tableau de bord de l’avancement de vos propositions dans les prochains jours », écrit-il. En fait, une mise à jour de la page CCC existe déjà sur le site Web du ministère de la Transition écologique.
L’outil devrait être présenté aux représentants des années 150 lundi, mais, prévient Emmanuel Macron dans sa lettre, « certaines de vos mesures méritent des ajustements, elles nécessitent une temporalité différente de celle que vous proposez. Parfois, dans le même but, d’autres. Des réponses peuvent être trouvées. Avant d’ajouter : « Ce débat est sain » et « vous ne devriez pas lui faire peur, emmenons-nous nous rendre ».
En répondant tac to tac, il est nécessaire que le président implique que les plaintes de la CCC sont prises très au sérieux. Ces 150 personnes attirées pour participer à ce nouvel outil de démocratie participative ne seront pas remodelées par autant d’opposants politiques. La réponse est un peu vide. Nous sommes un peu déçus. Dommage, le président a eu l’occasion de réaffirmer son soutien », déplore Grégoire Fraty, l’un des 150 citoyens qui promet de continuer à réaliser ses projets jeudi à Bercy devant une dizaine de ministres.
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