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Selon les dirigeants du Labour, aucune information n’a été dérobée. La formation n’a pas précisé si elle disposait d’éléments sur l’origine de l’attaque.
Le Monde avec AFP Publié le 12 novembre 2019 à 18h06 – Mis à jour le 12 novembre 2019 à 19h37
Temps de Lecture 1 min.
Le Parti travailliste, principal parti d’opposition britannique, a rapporté, mardi 12 novembre, avoir été victime d’une attaque informatique en pleine campagne pour les législatives du 12 décembre. « Les plateformes numériques du Labour ont été touchées par une cyberattaque sophistiquée et de grande ampleur », a affirmé un porte-parole de la formation dans un communiqué. Et ce dernier de préciser que l’opération avait échoué « grâce au solide système de sécurité » de ces plateformes.
Le dirigeant du Parti travailliste, Jeremy Corbyn, a lui aussi assuré qu’aucune information n’avait été dérobée lors de l’attaque, qui a eu lieu lundi. « Si c’est un signe de ce qui pourrait advenir pendant ces élections, cela me rend particulièrement nerveux », a-t-il confié, lors d’un meeting de campagne à Blackpool (nord-ouest de l’Angleterre).
Mardi après-midi, le site officiel du Labour n’était pas accessible. Interrogé sur la possibilité d’une nouvelle attaque, le parti n’a pas commenté dans l’immédiat ces difficultés. La formation n’a pas précisé si elle disposait d’éléments sur l’origine de l’attaque, mais elle a expliqué avoir saisi les autorités spécialisées.
« Le Labour a correctement suivi les procédures en vigueur et nous a rapidement tenus informés », a déclaré le Centre national de la cybersécurité, pour lequel « l’incident est maintenant clos ». L’institution a précisé dans un communiqué avoir rencontré les principaux partis politiques la semaine dernière, avant le lancement officiel de la campagne.
« La leçon que nous pouvons tirer des attaques au cours de la campagne électorale américaine en 2016 ou contre la CDU [le parti conservateur au pouvoir] en Allemagne, c’est que nous devons nous attendre à ce qu’il y ait des cyberattaques contre les systèmes des partis politiques pour leur dérober des informations », a déclaré à l’Agence France-Presse le député conservateur sortant Damian Collins, qui présidait la commission parlementaire sur le numérique. Il a insisté sur la nécessité pour les partis de s’assurer que « leurs systèmes de défense soient assez solides », car « la menace est réelle ».
Le Royaume-Uni se trouve en pleine campagne électorale pour les législatives anticipées convoquées le 12 décembre pour sortir le pays de l’impasse du Brexit. Avec ce troisième scrutin législatif en quatre ans, le premier ministre conservateur, Boris Johnson, espère ainsi retrouver une majorité lui permettant de sortir son pays de l’Union européenne mais le résultat de ce pari reste très incertain.
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