Manger moins de produits ultra-transformés protège contre le cancer. C’est ce que recommande un article publié dans The Lancet Planetary Health en mars, coordonné par le Centre international de recherche sur le cancer (CIRC).
Boissons gazeuses, pépites et cordons bleus, yaourts aromatisés, pains, gâteaux et petits pains commerciaux, bonbons, crèmes pour desserts, etc. Les rayons des supermarchés sont remplis d’aliments ultra-transformés. Les scientifiques ont montré que la mise à jour de 10% de ces aliments dans notre nutrition avec une quantité équivalente d’aliments peu transformés – cultures et légumes, légumineuses, lait frais – réduit le risque de cancer en général, et en particulier le risque de cancer du foie, du côlon, de l’œsophage et du sein postménopausiques.
Pour télécharger ce résultat, ils ont utilisé une cohorte européenne de 450 000 autres personnes et étudié les liens entre le cancer et le point de transformation des aliments. Il s’agit, à la connaissance de ses auteurs, de la plus grande étude existante à ce jour reliant le cancer au point de transformation des aliments.
« Cette étude fournit des preuves solides que le remplacement des aliments transformés et ultra-transformés par une quantité équivalente d’aliments peu transformés mérite d’être un objectif vital des méthodes de prévention du cancer en santé publique, d’autres études sont nécessaires pour mieux comprendre comment y parvenir. »une sorte de transition nutritionnelle », affirment les scientifiques.
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