Le Royaume-Uni dans son scandale de sang contaminé

Lire le numéro

Robert James le répète : il a de la chance. À 57 ans, le professeur a survécu à l’hémophilie, une maladie hémorragique, à l’hépatite C et au sida. « Une grande partie de ma vie a été de regarder mes amis mourir de virus dont je pensais mourir.  »aussi », dit-il dans un café de Brighton, sa ville natale.

Son histoire privée témoigne de l’ampleur du plus grand scandale de fitness de Grande-Bretagne impliquant le NHS, un service public de fitness, et le gouvernement pour leur négligence dans l’administration de sang infecté importé des États-Unis à plus de 30 000 personnes des années 1970 à 1991. Près de 3 000 patients sont morts. Au cours des sept dernières années, une enquête publique a rouvert les blessures de cette douloureuse vie après la mort. Les conclusions du juge seront présentées le 20 mai.

À LIRE. . .

Le tout à 1€ le premier mois

Recevez les nouvelles de l’étranger.

Merci! Votre inscription a bien été prise en compte avec l’adresse :

Pour connaître l’ensemble de nos newsletters, cliquez ici : MonCompte

En vous inscrivant, vous acceptez les conditions générales d’utilisation et notre politique de confidentialité.

Partagez vos réflexions avec les membres du Point.

Excellent @MC33, La Dufoix, malheureusement protestant, comme moi ! Une calamité. J’étais là parce que Mitterrand avait dit à son ami Dayan : « Trouve-moi une maman dans ta région. N’importe qui, tant que vous avez au moins 4 enfants.  » Et puis Georgina est arrivée. Son mari, Antoine, diplômé de l’Ecole Centrale, était un magnifique ingénieur de la B. T. P. À Marseille, nous avons travaillé avec lui à plusieurs reprises et avec succès.

Le pragmatisme britannique tant vanté ici consiste à attendre que suffisamment de coupables et de victimes de cette faute soient morts avant de commencer à juger.

Lundi, Avril 29, 2024

Retrouvez toute l’actualité en France et dans le monde sur Le Point, suivez l’actualité en temps réel et nos analyses, débats et dossiers.

Laisser un commentaire

Votre adresse e-mail ne sera pas publiée. Les champs obligatoires sont indiqués avec *