Justin Trudeau se méfie de l’ingérence étrangère au sommet du G7

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Les voix républicaines accusent, entre autres, la direction de Biden d’être responsable du climat politique violent.

Elle souffrait d’une maladie du sein depuis des années.

Un militant antifasciste présumé nommé Mark Violets, faussement connu comme le tireur.

C’est le quatrième nom continental de La Roja.

Deux autres personnes ont également été grièvement blessées par le tireur, qui a été abattu.

On a demandé à plusieurs reprises à M. Trudeau si les élus de son caucus avaient collaboré, de leur gré ou non, avec des élus étrangers. Il a également appelé à une réaction aux déclarations de la députée Elizabeth May et surtout à celle du chef du Nouveau Parti démocratique (NPD), Jagmeet Singh, qui a accusé les députés de « trahison » après avoir lu le rapport du juge Hogue sur l’ingérence.

Le ministre canadien a simplement répondu qu’il laisserait les parlementaires parler pour eux-mêmes et a déclaré qu’il prenait la question très au sérieux.

Je pense qu’il est essentiel que d’autres puissent avoir confiance en notre capacité à contrer l’ingérence étrangère. C’est pourquoi nous travaillons avec la Commission sur l’ingérence étrangère pour voir comment elle peut se conformer au rapport du comité des parlementaires.

En anglais, il a soutenu la façon dont le comité d’élus a interprété l’information.

De toute évidence, nous avons exprimé certaines de nos réflexions sur la façon dont le CPSNR est parvenu à ses conclusions ; Je pense que c’est un élément essentiel du processus, a-t-il déclaré.

Les dirigeants d’autres pays du G7 ont également exprimé leur grande crainte de l’ingérence étrangère et créent un cadre de réaction collective pour contrer les menaces étrangères contre les démocraties.

M. Trudeau a dissimulé le fait qu’il avait rencontré le premier ministre indien Narendra Modi, qui vient d’être réélu à la tête de la démocratie la plus peuplée du monde pour un troisième mandat.

Refusant d’entrer dans les détails de leur conversation, Trudeau a insisté sur la collaboration et l’importance de l’engagement entre les deux pays, l’Inde est désignée comme l’un des principaux pays coupables d’ingérence étrangère au Canada dans le rapport de la commission sur la question.

Il a simplement déclaré qu’ils avaient discuté de questions essentielles et qu’il était vital que les deux pays y participent. Il s’agissait également de la première rencontre physique entre les deux chefs d’État depuis que Trudeau a accusé le gouvernement Modi d’être préoccupé par le meurtre d’un militant sikh, Hardeep Singh Nijjar, en Colombie-Britannique.

Justin Trudeau quitte l’Italie samedi pour la Suisse, où le Canada participe à la Conférence de paix en Ukraine.

« Nous ferons tous tout notre possible pour mettre fin à cette guerre, à laquelle la Russie peut mettre fin si elle décide de respecter le droit étranger et de se retirer du territoire ukrainien », a déclaré le Premier ministre canadien.

Outre l’ingérence étrangère et la guerre en Ukraine, la guerre à Gaza, l’intelligence artificielle et l’égalité des sexes figurent également parmi les questions qui ont également été abordées par les représentants du G7 lors du sommet et abordées dans leur déclaration finale.

Bien qu’aucune promesse n’ait été faite concernant la guerre entre le Hamas et Israël, les membres ont approuvé l’accord de cessez-le-feu présenté par le président américain Joe Biden.

En outre, ils appellent conjointement à ce que davantage d’aide humanitaire soit fournie aux civils à Gaza et invitent le Hamas à accepter la proposition de cessez-le-feu. Justin Trudeau a rappelé que le Canada a besoin d’une paix juste et durable au Moyen-Orient, notamment par le statu quo d’une solution à deux États.

Les membres du G7 et le pape François, qui a été le premier pontife à rencontrer directement les dirigeants de l’organisation lors d’un sommet a également abordé la question de l’intelligence synthétique.

Il appelle les politiciens à veiller à ce que l’intelligence artificielle reste centrée sur l’humain et souligne l’importance pour les humains de créer des options possibles pour eux-mêmes. Le G7 a également convenu de mettre en place un plan sur l’utilisation de l’IA dans le monde de la peinture et de la technologie. renforcer la mise en œuvre du Code de conduite international pour les organisations développant des systèmes d’IA complexes.

L’égalité des sexes est également un enjeu qui a retenu l’attention des dirigeants du G7. Selon les médias, les négociateurs italiens ont réussi à inclure le mot avortement dans une édition antérieure de la déclaration finale.

Au lieu de cela, il comprend un engagement à fournir des soins physiques de qualité aux femmes, en ajoutant des compétences et des droits sexuels et reproductifs complets, ainsi qu’un engagement à contribuer au moins 20 milliards de dollars sur trois ans à l’autonomisation des femmes.

Lors du dernier sommet du G7 en 2023 au Japon, Giorgia Meloni avait rejeté la plainte du premier ministre Justin Trudeau concernant la dégradation des droits des membres du réseau LGBTQ+ en Italie. Cela a bouleversé le Premier ministre italien, qui s’est dit victime de fausses nouvelles et de propagande, affirmant que les convictions de M. Trudeau ne correspondent pas à la réalité.

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