La semaine dernière, un grand nombre de personnalités se sont accumulées au débarquement du Débarquement dans la villa gallo-romaine de Pardigon II. L’objectif est que l’architecte Renzo Wieder fasse un commentaire purement technique sur la commission de stabilisation et d’amélioration des vestiges.
Étaient présents l’assistante de la culture et de l’environnement, Catherine Huraut, le président de l’association archéologique Aristide-Fabre, André Falconnet, qui a fourni des volontaires pour sauver ce patrimoine du vandalisme. Les collègues de Castellane, représentés par Mefadel Taghi, chef de chantier, et Youssef Mechal, maçon en taux d’usure de l’œuvre, ont su répondre aux questions.
Les travaux ont déjà duré et dureront plusieurs mois. Ils sont liés à la consolidation, la récupération et le remplissage des espaces de l’ancienne villa.
Ils sont financés par le produit d’exploitation des parkings PardigonArray appartenant au Conservatoire du littoral, représenté à l’assemblée par le gardien Pierre Lacosse. Selon ses responsables, le Conservatoire du littoral souhaite, dans une troisième phase, le mettre à la disposition du public. Pour cela il est obligatoire de fournir la maçonnerie des murs de pierre, l’élévation, les terrassements ainsi que le sol.
Les peintures d’aménagement et d’amélioration se poursuivront avec la création d’un sentier autour des ruines, la structure d’une plate-forme et d’une clôture.
Du mobilier et de l’équipement seront installés, ainsi que de la signalisation, pour enrichir et dynamiser l’espace.
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