Sony est fortement impliqué dans le marché du divertissement, ajoutant du contenu cinématographique et des petits écrans. Nous connaissions déjà beaucoup le logo entre le piratage sur la console de jeu, mais maintenant le géant japonais s’attaque également à la récurrence de l’IPTV pirate.
Rappelons que l’IPTV pirate distribue des bouquets de chaînes payantes et de contenus libres (films, musique) pour un abonnement annuel réduit variant entre 50 € et cent €. Problème : ce sont des serveurs pirates qui ne paient qu’un seul abonnement et redirigent les flux vers leurs abonnés.
Sony a déposé un nouveau brevet aux États-Unis. Il s’agit essentiellement d’un logiciel capable d’espionner les programmes insérés dans un téléviseur HDMI ou un dongle pour détecter les transmissions IPTV piratées et les bloquer.
La génération s’appelle « Anti-piratage basé sur une fonctionnalité de liste noire ». Il s’agirait d’une couche de logiciels installés par défaut sur des appareils électroniques (box TV, téléviseurs, smartphonesArray. . . ) et serait, en somme, un type de spyware qui confronte l’accès aux flux de transmission à ceux établis dans une liste noire. Si la séquence était signalée comme un pirate, le logiciel serait lâche pour dégrader les fonctionnalités du lecteur ou en bloquer complètement l’accès.
Cela ressemble beaucoup à la surveillance constante des utilisateurs, de leur activité et des échanges réseau. Plus en détail, Sony évoque une pratique plutôt trompeuse qui dégraderait le plaisir de l’application qui diffuserait du contenu illégal pour mentir à l’utilisateur et le faire par erreur: restriction de la bande passante allouée ou de la RAM, accumulation de temps de mise en mémoire tampon, pauses normales pendant la lecture de la baie.
On peut croire comment ce type de logiciel peut être gagné grâce au public, mais aussi comment il peut être facilement détourné par des cybercriminels à des fins beaucoup moins louables.
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