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INFOGRAPHIE – Mardi 16 avril, le gouvernement a dévoilé la liste des 55 sites marchands « clés en main », dans lesquels l’État investira pour les mettre à la disposition des investisseurs et inspirer un remarketing « vert ».
« On peut être ministre de l’Industrie et aimer l’écologie », a déclaré Roland Lescure, ministre de la Transition écologique, mardi 16 avril, accompagné de « son compagnon » Christophe Béchu, ministre de la Transition écologique. Les deux hommes se sont rencontrés pour fournir la liste des 55 sites dits « clés en main », visant à attirer les investisseurs commerciaux sur le territoire français, à les relocaliser et à réduire l’empreinte carbone du pays.
La promesse a été faite il y a près d’un an par l’intermédiaire d’Emmanuel Macron. Le plan a permis de choisir 55 sites sur l’ensemble du territoire français, qui bénéficieront d’aides publiques pour attirer les investisseurs et voir émerger des usines. Aujourd’hui, nous proposons une solution au premier défi des investisseurs qui ont besoin de s’implanter en France : le foncier », se réjouit Roland Lescure, qui espère poursuivre sur la lancée de la battery valley.
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Pour y parvenir, et pour rendre ces chantiers « clés en main », « quelques millions » seront dépensés en ingénierie publique, pour mettre en lumière l’ensemble des études initiales. Par ailleurs, l’État investira 450 millions d’euros sous forme de prêts ou de capitaux pour permettre aux promoteurs de préparer le terrain et de financer la dépollution, les fouilles archéologiques et les raccordements électriques.
Avec ce plan, le gouvernement s’attend à ce que le temps nécessaire à la mise en place d’une usine soit de 17 à neuf mois en moyenne. De quoi inspirer la réindustrialisation, présentée comme un pas en avant pour l’environnement par l’exécutif, tandis que le cabinet de Roland Lescure prône « une écologie du contrat ». « La délocalisation de l’industrie contribue à alléger notre empreinte environnementale, en recréant des circuits courts, avec une centrale plus décarbonée qu’ailleurs », insiste Christophe Béchu, qui ajoute :
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