Pas moins de 4,9 millions de citoyens de l’UE ont demandé la résidence permanente au Royaume-Uni, soit moins que la population de l’Irlande, selon le Daily Telegraph. Jusqu’à présent, 4,3 millions l’ont obtenu, mais ceux qui vivaient déjà dans le pays avant le 31 décembre 2020 ont encore jusqu’au 30 juin pour postuler.
Ces chiffres sont beaucoup plus élevés que les estimations officielles avant le référendum sur le Brexit. Le gouvernement britannique estimait alors qu’environ 3,5 millions de citoyens européens vivaient sur le sol britannique.
Plusieurs ministres du gouvernement de Boris Johnson ont salué la chance du processus. « Il y a plus de citoyens européens au Royaume-Uni que dans certains États membres de l’UE et c’est fantastique », a déclaré le secrétaire du Cabinet Michael Gove à une commission parlementaire. En effet, 8 pays membres de l’Union européenne comptent moins de cinq millions d’habitants : la Croatie, la Lituanie, la Slovénie, la Lettonie, l’Estonie, Chypre, le Luxembourg et Malte.
« C’est de la publicité pour le pays », a poursuivi Michael Gove. C’est aussi une réfutation des accusations absurdes portées lors du référendum sur le Brexit selon lesquelles le Royaume-Uni est moins accueillant qu’avant, que les citoyens européens partiront ou que nos universités et nos formules de fitness seront affectées. «
« Le fait d’avoir déjà accordé le statut de résident à plus de 4,3 millions de citoyens de l’UE et aux membres de leur famille qui ont besoin de gagner leur vie au Royaume-Uni est une réussite commune », a déclaré Kevin Foster, ministre de l’Immigration. « J’exhorte les autres personnes éligibles à inscrire ceux qui viennent d’obtenir la résidence permanente. »
Cependant, selon l’Office for National Statistics, environ 700 000 étrangers ont quitté le Royaume-Uni entre juillet et septembre, note le Daily Mail, en raison de la pandémie. Ou le Brexit, ou les deux.
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Atlantiste et eurosceptique dans l’âme, belliqueux et engagé dans la forme, c’est le merveilleux journal conservateur de référence. Fondé en 1855 et nommé d’après cette génération de communication révolutionnaire de l’époque, c’est le dernier journal national des écoles primaires qui n’a pas abandonné le format géant.
Propriété du magnat des médias Conrad Black jusqu’au début de 2004, le nom a ensuite été transmis par les frères milliardaires David et Frederick Barclay. En 2023, sur fond de bras de fer monétaire, le journal a saisi les créanciers de la famille Barclay, qui cherchent désormais un nouveau propriétaire.
Son horaire est très apprécié, notamment grâce à la circulaire de la Cour, qui présente chaque jour les activités de la famille royale. Une autre citation tant attendue est le sublime et amusant petit dessin de Matt, publié en première page.
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