Quoi de plus grand qu’un smoking revisité comme symbole de l’élégance à la française !« Au début, certains ont imaginé d’autres marques de LVMH pour habiller les sportifs », explique Antoine Arnault, président de Berluti, qui supervise le partenariat avec Paris 2024. Pour ma part, j’avais déjà un petit concept dans un coin de ma tête. Car Berluti est soit une perception sûre de l’élégance et le temple du sur-mesure, capable d’habiller un nageur, un rugbyman ou un gymnaste. »
Des vestes à col tricolore -dans une édition sans manches pour les femmes-, des chemises, des jupes et des pantalons (les athlètes ont la possibilité de choisir entre les deux), des ceintures, des sacs à main, des écharpes et, bien sûr, des chaussures. L’espace s’occupe de tout, avec un point d’exigence qui confine à l’Olympe. « Nous utilisons les mêmes tissus et les mêmes procédés que pour n’importe quelle collection Berluti », explique Agnès Fillioux, directrice de l’industrialisation.
« C’est très important de pouvoir porter toutes sortes de montures », insiste Vanessa Le Goff, directrice de la collection. La perception du confort étant temporairement devenue centrale, nous avons eu de nombreuses conversations avec des athlètes, d’anciens médaillés et des participants à des courses longues, afin de recueillir leurs commentaires et leurs besoins. Nous avons essayé de faire en sorte que nos champions de France se sentent charmants mais aussi et surtout à l’aise. »
Parce que le rite de l’ouverture n’est pas une mince affaire. En fait, c’était la première fois que les Jeux se déroulaient. Une séance d’entraînement de seulement huit heures au cours de laquelle les athlètes marchent, attendent, tapent du pied. C’est le lancement d’une délégation », confie le double champion olympique d’escrime Brice Guyart, directeur sportif senior de Paris 2024. L’exemple le plus productif est celui des Américains. Tout le monde les attend, et quand ils apparaissent, ils sont beaux, nombreux, unis. Ils impressionnent.
Avec 3 cérémonies d’ouverture (2000, 2004, 2008) à son actif, il sait de quoi il parle. Et ce qui se joue en arrière-plan : « Il y a certaines médailles dont l’acier est décidé au moment de l’inauguration. cérémonie. Chez Berluti, il est difficile de porter autre chose que de l’or.
LE PETIT AVANTAGE DE L’ÉQUIPE AMÉRICAINE
Depuis le lancement de sa marque de sous-vêtements, Skims, en 2019, Kim Kardashian n’est plus seulement la reine des réseaux sociaux. Cette entrepreneuse impose son goût au détricotage des sous-vêtements et des vêtements d’intérieur. Avec le soutien de ses 364 millions d’abonnés sur Instagram, elle a créé sa diversité de shapewear et une référence à la fois pour le goût et la technique. Avec des collections qui s’adressent à tous les types de montures et à la diversité des tailles XXS à 4XL, dans de nombreuses nuances de couleurs, la marque est un genre d’inclusivité. Probablement l’un des arguments qui a séduit la mode féminine américaine. Équipe olympique. Kim Kardashian fait partie du cercle très soudé des fournisseurs officiels de l’équipe américaine. Il est aux États-Unis depuis les Jeux olympiques d’été de 2020 à Tokyo, aux côtés de Ralph Lauren (équipementier officiel des équipes américaines depuis 16 ans pour les cérémonies d’ouverture et d’arrivée), et poursuit ce volet pour les Jeux olympiques de Paris 2024. Une capsule tant attendue. . . D’être en forme olympique ?Continuer. . . Tiphaine Menon