Créé en 1999 et classé Géoparc par l’UNESCO en 2017, il s’étend sur environ 176 000 ha et comprend 102 communes, plus de 30 000 habitants, 23 sites d’intérêt écologique exceptionnel, 42 sentiers et sentiers balisés, 260 km de sentiers de grande randonnée, plusieurs sites avec circuits d’interprétation.
Paradis des randonneurs, des spéléologues et de nombreux autres sports de plein air, le Parc naturel régional des Causses du Quercy comprend une diversité de paysages façonnés par un lien millénaire et permanent entre la pierre et l’eau. Si la Limarga et le Quercy Blanc voient couler de l’eau à la surface dans un paysage montagneux, c’est autre chose dans le causse : les plateaux calcaires, recouverts de pâturages secs et de forêts de chênes, sont traversés par des gouffres et criblés de dolines dans lesquelles l’eau disparaît pour s’inscrire dans d’immenses réseaux de rivières souterraines. Les quelques vallées verdoyantes qui traversent le causse sont bordées de corniches rocheuses qui offrent un paysage authentique de canyons. . . C’est ce patrimoine géologique remarquable qui a été labellisé Géoparc. Autre particularité : vous pourrez pratiquer ici le ciel nocturne le plus « pur » de France.
Le Parc naturel régional des Causses du Quercy a pour vocation de préserver, d’encourager et de valoriser le patrimoine naturel, culturel et humain de son territoire. Depuis sa création, le parc a choisi d’inspirer un tourisme de qualité, respectueux de l’environnement et de ses habitants. Il poursuit cette technique grâce à son club de la Charte européenne du tourisme durable.
Avec le parc herbier des Grands Causses occupant environ 0,33 du département, l’Aveyron vit en harmonie avec la nature. Forêts sauvages, vallées et gorges. Avec plus de 7 000 km de cours d’eau, c’est aussi le paradis des pêcheurs. Les amateurs d’escalade ou de parapente apprécieront de trouver des endroits avec un encadrement très professionnel. Terre de randonnée, il existe des itinéraires pour tous les niveaux le long des marnes de la région de Roquefort. au Chemin de Saint-Jacques-de-Compostelle. Aussi dans la gastronomie ici nous sommes encore herbacés. Après une partie de bowling (la pétanque locale, avec ses rondins de bois), découvrez le délice des burons, ces petites maisons en pierre de l’Aubrac, où l’aligot est prêt dans un coin de la table.
Sur les contreforts du Massif Central, le Parc Naturel Régional du Haute-Languedoc s’étend sur 93 communes et 2 départements, le Tarn et l’Hérault.
Sa situation, à cheval sur les bassins atlantique et méditerranéen, lui confère son originalité et explique les ambiances contrastées que vous y trouverez. C’est une fabuleuse palette de couleurs et de senteurs, une véritable mosaïque de paysages et d’ambiances qui s’étend, dans le Tarn, de la Sidobre aux monts de Lacaune.
Créé en 1967, il mesure une centaine de kilomètres de long. Un domaine de 457 km² dont le maximum se situe dans les Hautes-Pyrénées. 4 vallées de la branche Hautes-Pyrénées (Aure, Luz-Gavarnie, Cauterets et Arrens, qui composent la Bigorra) et 2 autres dans les Pyrénées-Atlantiques (Ossau et Aspe, en Béarn).
Constamment marqué de marqueurs rouges et blancs à tête en daim, le parc abrite des animaux devenus rares en France, comme le gypaète barbu, endémique des Pyrénées, le vautour percnoptère et l’aigle royal. Mais aussi le desman, ou rat trompette, ainsi appelé en raison de la forme de son museau (il est endémique mais c’est la chose ultime à photographier !) ; et puis il y a d’autres animaux, comme le vautour fauve (le plus nombreux, seulement environ 340 couples), le grand tétras (un poulet sauvage difficile à photographier), les chamois (environ 3 700, cousins pyrénéens du chamois, avec tout le respect de la rigueur clinique !), les chèvres de montagne ibériques réintroduites depuis 2014 dans les vallées de Cauterets et de Luz-Saint-Sauveur, sans oublier les innombrables colonies de marmottes et, À l’échelle microscopique, les Euproctes, ces espèces de tritons. dans! D’un autre côté, il y a peu de chances de voir des ours, et il n’y a plus d’ours. Pourtant, ils sont une vingtaine sur les pentes des Pyrénées françaises et espagnoles, résultat de la réintroduction des ours slovènes.
Botaniquement, beaucoup de fleurs, bien sûr (plus de 400 espèces, totalisant au moins deux cents endémiques). Les plus célèbres : la ramonda, le droséra (carnivore), la fritillaire, le lys, la saxifrage à longues feuilles, le chardon bleu, l’ancolie, la gentiane, l’edelweiss. Meilleures périodes : juin et juillet, lorsque la neige fond, et août au sommet des montagnes.
Possibilité de très bonnes balades et randonnées dans ce pays de montagnes et d’eau. En effet, quelle eau, quelle eau, quelle eau ! Des lacs à travers les cargaisons et des « gaves » (rivières ou torrents) à travers des milliers, où les truites sont encore pêchées et volées. La pêche est toujours pratiquée. Au moins 350 km de sentiers balisés, en plus du GR 10 et de la Haute Randonnée Pyrénéenne (réservée aux marcheurs confirmés). Une vingtaine d’abris et de nombreux abris d’étape en périphérie. Excursions avec des rangers ou des guides de montagne. Renseignez-vous auprès des nombreuses maisons et offices de tourisme du parc national.
Le chemin de Saint-Jacques-de-Compostelle converge vers la côte galicienne de l’Espagne et vers la cathédrale de Saint-Jacques-de-Compostelle, où sont conservées les reliques de l’un des plus grands apôtres de Jésus, Saint-Jacques-de-Compostelle, mort martyr vers l’an 35.
Au fil des ans, les pèlerins ont été rejoints par des amateurs d’art roman et des amateurs de randonnées. Le Chemin de Saint-Jacques-de-Compostelle, théâtre d’un renouveau religieux régulier, est également d’une beauté et d’un intérêt ancien qui méritent d’être détournés : les échanges culturels et religieux, et le désir d’accueillir un nombre gigantesque de pèlerins, ont favorisé, depuis le Moyen Âge, la progression des villes et des monuments qui ont été des étapes en cours de route.
Les quatre anciens sentiers français commencent respectivement à Vézelay, Le Puy-en-Velay, Tours (aujourd’hui à Paris) et Arles. C’est ce dernier sentier, connu sous le nom de Via Tolosana, qui glorifie le niveau de Toulouse et son impressionnant Saint-Sernin. Depuis 2017, la Via Garonne (GR 861) relie Toulouse à Saint-Bertrand-de-Comminges et fait partie du réseau des sentiers historiques. Nous avons également privilégié des itinéraires secondaires sécurisés comme celui de Conques à Toulouse, qui offre de belles découvertes à travers le Tarn.
Le GR 65 est aujourd’hui l’un des sentiers les plus populaires de France. Sincèrement religieux, purement culturel ou simplement sportif, en une étape ou en sections, chacune a son propre objectif, son propre rythme et sa propre motivation. . . Dans tous les cas, c’est une expérience inoubliable. . .