L’activiste, avocat, chanteur et instructeur d’Inuk, Aaju Peter, publie depuis quelques années un long métrage documentaire sur la colonisation des Inuits au Groenland et au Nunavut.
Photo: Donald M. Bowie Chambers / Photo via Lin Alluna
Après environ cinq ans de tournage, l’avocate et militante d’Inuk, Aaju Peter, entre dans le plus haut niveau de tournage de son documentaire autobiographique Twice Colonized, qui établit un parallèle entre la colonisation inuite au Groenland et dans le nord du Canada.
Ce long métrage documentaire, qu’elle prépare avec le réalisateur danois Lin Alluna, décrit essentiellement le cours de sa vie : elle témoigne du suicide de son fils, ce qui l’a amenée à remettre en question le colonialisme de la population inuite.
Je suis très fier d’être inuk et de mon héritage.
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Ce long métrage documentaire, qu’elle prépare avec le réalisateur danois Lin Alluna, décrit essentiellement le cours de sa vie : elle témoigne du suicide de son fils, ce qui l’a amenée à remettre en question le colonialisme de la population inuite.
Née au Groenland en 1960, Aaju Peter a dû quitter ses terres locales à l’âge de 11 ans pour partir pour le Danemark. Au cours de ses études, il a appris le danois, l’anglais, le français et le latin.
Quand je suis retourné au Groenland à l’âge de 18 ans, j’avais oublié ma propre langue, dit-il. Je n’avais pas [accès] à ma propre nourriture, à mon cercle de parents [et] à mes amis.
À ce moment-là, explique-t-il, la culture surprend l’extrême. J’avais été absolument colonisée, dit-elle. C’est surtout la perte de mon identité et de ma langue qui m’a fait le maximum de dégâts.
En 1981, il s’installe à Frobisher Bay (aujourd’hui Iqaluit), au Nunavut, où il réside toujours. Quand je suis arrivé au Canada, la colonisation battait son plein », dit-il. Je me suis dit [. . . ] que je devais me tenir debout dans l’espoir d’apprendre à vivre avec toutes les choses que j’avais vécues en tant qu’Inuk.
Après la création du Nunavut en 1999, il a étudié le droit, entre autres, avant de plaider en faveur de la chasse au phoque, enracinée dans la culture inuite, dont il a parlé à ce sujet dans le documentaire Angry Inuk en 2016.
Je suis très fier d’être inuk et de mon héritage.
Dans son documentaire Twice Colonized, Aaju Peter doit également parler des découvertes récentes de restes d’enfants dans des pensionnats indiens à travers le pays.
C’est une histoire comme raconter », dit-il. Je suis heureux qu’il ait été révélé ouvertement. C’est une faillite incroyablement malheureuse dans notre hitale.
Il y a également eu un certain nombre de développements, alors nous aimerions aussi équilibrer [le point] », poursuit-il.