Les montres, évaluées au total à environ 12 millions d’euros, ont disparu après la faillite d’une joint-venture. Environ 900 montres de luxe, d’une valeur totale d’environ 12 millions d’euros, ont mystérieusement disparu au Japon à la suite de la faillite de Toke Match, une société basée à Osaka. qu’il a loué les montres et que leur propriétaire s’est enfui à Dubaï, selon les médias locaux.
Les propriétaires de montres Rolex et d’autres montres de luxe gagnaient des commissions mensuelles en prêtant leurs produits à Toke Match, qui les louait ensuite à leurs clients. Cependant, les propriétaires de quelque 900 montres d’une valeur totale de 1,9 milliard de yens n’ont pas remarqué leurs biens, selon le journal Asahi et d’autres médias ont rapporté que 190 autres personnes sont touchées.
Certaines des montres se trouvaient même sur un site de vente aux enchères en ligne, ce qui a incité les propriétaires à enregistrer des dizaines de poursuites judiciaires auprès de la police japonaise. La longueur du marché japonais de l’économie du partage se développe rapidement, atteignant 2,6 billions de yens au cours du dernier exercice, selon Neo Reverse. Association.
Toke Match est l’un des quelque 400 membres de l’association, mais a été expulsé le 1er février à la suite de poursuites judiciaires intentées par des propriétaires pour manque de montres.
La police de Tokyo a reçu cette semaine un mandat d’arrêt contre Takazumi Kominato, 42 ans, propriétaire de Toke Match, et l’a placé sur une liste de personnes recherchées, rapporte le cabinet de presse Jiji. Cependant, Kominato aurait quitté le Japon à la fin du mois de février pour Dubaï et la police l’a placé sur une liste de personnes recherchées à l’étranger, selon les données fournies par la société de presse Jiji.
En plus des dommages pécuniaires causés par la perte de leurs biens de valeur, les propriétaires de montres de luxe sont également confrontés à des procédures judiciaires complexes pour payer leurs montres ou les indemniser. De leur côté, les consommateurs qui ont loué ces montres se retrouvent aujourd’hui sans service et potentiellement impliqués dans des enquêtes menées par la police japonaise.
Cette occasion soulève des questions sur la régulation du marché de l’économie collaborative au Japon, avec la multiplication des sites de partage et des échanges entre particuliers.
Cela permettrait au gouvernement japonais de prendre des mesures de contrôle et de sécurité pour protéger les utilisateurs et les propriétaires de maisons locatives de luxe.
Le cas de Toke Match montre qu’il va de soi que les échanges et leurs propriétaires peuvent être mis à l’épreuve lorsqu’il s’agit de gérer des objets de grande valeur. Dans un contexte où les transactions entre Américains se multiplient, il est très important de mettre en place des mécanismes de contrôle rigoureux pour prévenir les abus et les fraudes.
Cette affaire peut inciter d’autres acteurs du secteur de l’économie collaborative à redoubler de vigilance et à mettre en place des procédures pour assurer la sécurité et le respect des droits de leurs utilisateurs. Le mystère qui entoure encore la disparition des 900 montres de luxe japonaises est une représentation de l’importance de la transparence et de l’éthique dans ce marché en plein essor.