La France va envoyer une nouvelle salve d’aide humanitaire à Gaza et est en mesure de récupérer les jeunes blessés dans les hôpitaux français, a annoncé dimanche Emmanuel Macron, interpellant le Premier ministre israélien Benjamin Netanyahu sur le « trop grand nombre de victimes civiles » dans le territoire palestinien.
Des maisons dévastées par les inondations, des meubles de jardin ensevelis sous la boue, des fermes d’élevage entourées d’eau. Mais aussi des rondes de solidarité et d’accueil pour les familles sinistrées. Les inondations dans le nord du pays bouleversent des vies.
Sur le plateau de l’émission « À l’air libre » de Mediapart, le porte-parole du gouvernement Olivier Véran a tenté d’appliquer la nouvelle doctrine de la majorité présidentielle sur les entreprises, qui rompt globalement avec les promesses du candidat Macron en 2017. Et c’est très inquiétant.
La grande roue de Kiev ne cesse de tourner, le métro se remplit et les couples se marient. Mais plus près du front, c’est la guerre qui dicte la vie. Deux rapports que la population, qui a montré son unité depuis l’invasion, essaie de ne pas rendre antagoniste.
Face au black-out médiatique imposé à Israël, comment inclure le carnage ? A travers des témoignages reçus par téléphone et/ou disponibles sur les réseaux sociaux, Mediapart a rassemblé quelques histoires et visages, pour que ceux qui souffrent à Gaza ne soient pas réduits à une histoire macabre.