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Huit ans après sa première investiture, Donald Trump a prêté serment au Capitole à Washington.
Notre envoyée spéciale a pris le pouls des opposants de Donald Trump en ce lundi d’investiture à Washington.
Environnement Canada estime que cette longue période sans effusion de sang durera jusqu’à mercredi.
Le gouvernement de Justin Trudeau se dit « prêt à toute éventualité ».
Il frappa son sein gauche avec sa main avant d’étendre son bras avec sa paume ouverte.
Vingt-sept ans après l’affaire Festina, 12 ans après les aveux tardifs de Lance Armstrong, le cyclisme, même à l’abri des principaux scandales des dernières saisons, continue de faire face à ce qui a longtemps été, jusqu’à présent, son problème. numéro un.
Le cyclisme est un sport difficile et l’un des plus exposés aux tentations, explique Marc Madiot, directeur de l’équipe Groupama-FDJ.
Ainsi, les performances de Tadej Pogacar en 2024, comme celles de Jonas Vingegaard l’an dernier sur le Tour de France, ont suscité des interrogations. Interrogés à plusieurs reprises, tous deux ont vigoureusement nié toute consommation de substance illicite.
Il n’y a pas de confiance et je ne sais pas ce qu’on peut faire pour la regagner, a constaté Pogacar en octobre, disant espérer que peut-être dans quelques générations, les gens vont oublier le passé, oublier Armstrong et ce qu’ils faisaient à l’époque.
Pogacar et Vingegaard ont eu à se défendre de l’inhalation de monoxyde de carbone qui permet de mesurer les bienfaits des stages en altitude, mais pourrait avoir des effets dopants si son usage était détourné.
Polémique sensationnelle, présentée par Jeroen Swart, coordinateur de fonction de l’équipe Pogacar aux Émirats arabes unis, expliquant qu’il s’agit d’une stratégie très standardisée que son équipe n’utilise plus depuis que les tests ont été concluants.
L’Union cycliste internationale (UCI) a cependant demandé à l’Agence mondiale antidopage (AMA) d’interdire l’inhalation de ce gaz mortel, promu par le Mouvement pour un cyclisme crédible (MPCC), qui insiste sur la volonté de conserver les sommités. dans un climat de suspicion latente.
Dans son dernier bulletin publié en septembre, le MPCC, qui regroupe sept équipes du World Tour (première division) se voulant à la pointe de la lutte antidopage, a identifié 75 cyclistes sous licence professionnelle à être actuellement suspendus pour dopage, avec de 15 à 20 nouveaux cas par an.
La moitié de ces cas ont eu lieu au moment de leur contrôle dans la catégorie pro continentale, c’est-à-dire la 3e division mondiale, où les coureurs, contrairement aux deux divisions supérieures, ne sont pas soumis au statu quo d’un passeport biologique, l’une des pierres angulaires de la lutte. opposé au dopage, selon le MPCC.
La Colombie, avec 16 cyclistes suspendus, est le pays le plus touché. L’EPO, au centre du scandale Festina, reste la principale substance mise en examen (25%), devant les stéroïdes (13%).
Seuls 8 % appartiennent au World Tour masculin, celui qui regroupe l’essentiel des coureurs participant au Tour de France.