Le Centre de la francophonie des Amériques dévoile un nouveau site web

L’objectif de la refonte du site est de mettre mieux de l’avant les ressources proposées aux francophones de l’ensemble du continent et de permettre une navigation plus intuitive.

À même le site s’ajoute la Zone Franco, où le Centre présente la francophonie de régions des Amériques par le biais de fiches. De plus, les activités organisées par le Centre peuvent être visionnées par le Canal @CFAmériques.

Le site web propose une nouvelle entrée vers les autres sites de l’organisme ancré au Québec, notamment la Bibliothèque des Amériques, qui contient des milliers de livres numériques d’auteurs de la francophonie des Amériques accessibles gratuitement.

L’accès au Réseau des villes francophones et francophiles, qui vise le développement local touristique, économique, linguistique et culturel, est aussi offert via le nouveau francophoniedesameriques.com.

Lors d’une chirurgie cardiaque, une machine cœur-poumon est utilisée afin que le sang continue de circuler dans le corps du patient et que la respiration ne soit pas arrêtée. L’utilisation de cette machine crée cependant de l’inflammation chez le patient, une réaction normale d’un corps blessé pour se défendre contre des micro-organismes.

À leur arrivée à l’Institut de formation NAV Canada de Cornwall, les passagers du navire y seront gardés en quarantaine pendant deux semaines.

L’année 2019 s’était conclue en beauté pour le musicien, compositeur et auteur Mario Lepage et son groupe Ponteix. En novembre, il avait été élu producteur de l’année aux Prix de la musique de la Saskatchewan et son groupe avait remporté le prix du vidéoclip de l’année pour Petite fleur.

Dans 26 % des cas, il s’agissait de fémicides familiaux et dans 6 % des cas seulement, les hommes accusés étaient des étrangers.

L’observatoire va plus loin dans l’analyse des statistiques. Les partenaires intimes ayant tué leur partenaire étaient, dans 70 % des cas, mariés ou conjoints de fait. Les autres étaient des fréquentations ou des relations intimes non spécifiées.

À la mi-décembre, le président de la Fédération des communautés francophones et acadienne du Canada (FCFA), Jean Johnson, a rencontré la ministre responsable des langues officielles au sein du gouvernement canadien, Mélanie Joly. Selon le président, ce fut «une belle rencontre». Il a évidemment été question de la modernisation de la Loi sur les langues officielles. Même si le gouvernement libéral est maintenant minoritaire, il n’est pas question pour lui de reculer sur ce point. L’engagement fait avant les dernières élections est maintenu.

Chaque année, les dictionnaires incluent une centaine de nouveaux mots. L’an passé, l’Aurore boréale proposait un article au sujet des nouveaux mots de la langue française. Selon les statistiques de Francopresse, ce texte est demeuré dans les 15 articles les plus lus tout au long de l’année.

En juin prochain, l’organisation New Brunswick Black History Society célèbrera ses 10 ans d’existence. Affiliée à l’organisme communautaire PRUDE Inc. (Pride of Race, Unity and Dignity through Education), celle-ci retrace et documente des siècles d’histoire peu connue du grand public.

Pour Ralph Thomas, coordinateur de projets chez New Brunswick Black History Society et président de PRUDE Inc., l’expérience qu’il a vécue au conseil d’administration du village historique de King’s Landing a rallumé sa flamme de retracer l’histoire des Noirs loyalistes en Atlantique : «Il n’y avait rien sur l’histoire des Noirs. Nous savions que la famille Gordon, dont la maison était située à Fredericton, était d’origine afro-américaine et qu’il y avait un certain intérêt de la mettre en valeur […]. Celle exposée à King’s Landing est identique parce que nous avions à notre disposition les plans de construction de l’originale.»

Pour les Inuits des collectivités de l’ouest du Nunavut, le bœuf musqué est une source importante de nourriture. Sa laine intérieure, le qiviut, d’une qualité comparable au cachemire et d’une chaleur inégalable, est également très prisée pour l’habillement. La chasse du bœuf musqué est donc une activité nécessaire à la survie de ces collectivités.

Pourtant, elle est de plus en plus difficile à pratiquer. Les hardes ne sont plus localisées au même endroit, car le nombre de bêtes chute et, surtout, car plusieurs d’entre elles sont rongées par la maladie. Les scientifiques s’interrogent à savoir si ces phénomènes sont des répercussions directes des changements climatiques.

La maman d’Isaac et Eve était heureuse de procéder au lancement de son tout premier livre Je suis bilingue, le 8 février à la Bibliothèque publique de Dieppe.

Ses enfants aiment beaucoup passer du temps chez leurs grands-parents paternels (Mimi et Grampy) et maternels (Mamour et Papour).

Tout commence en 2013 lorsque Martine Noël-Maw voit le documentaire de Jacques Godbout, Alias Will James. C’est le coup de cœur. « Pendant cinq ans, j’ai parcouru des milliers de kilomètres, lu des milliers de pages, des dizaines de romans, de biographies… » Elle travaille et cogite sur ce personnage mythique pendant ces années ponctuées d’ateliers, de stages et de bourses du Saskatchewan Arts Board.

C’est lors de la retraite annuelle des écrivains fransaskois de Muenster en 2015 qu’elle écrit Hommage to a hero fragmenté, qui deviendra un monologue dans Will & Ernest. « Parce que j’ai écrit ce monologue, j’ai commencé à voir mon héros sur scène plutôt que dans un film. Quand j’écris un roman, je vois l’action qui se déroule comme dans un film. Mais là, j’ai commencé à voir l’action se dérouler sur scène ».

C’est la même année à Entr’arts, une rencontre formative d’artistes à Banff, que naissent les premières scènes de la pièce. Le reste appartient à l’histoire, pourrait-on dire, mais pas tout à fait. La saga Will James n’est pas encore terminée puisque deux romans sur le héros sont en chantier : un pour adultes, adapté de la pièce, et un pour adolescents, Le secret de Luca.

Dès le 11 mars, les urgences de Caraquet, de Sainte-Anne-de-Kent, de Sackville, de Sussex, de Perth-Andover et de Grand-Sault fermeront leurs portes de minuit jusqu’à 8 h.

Ils vont l’accepter leur dernier patient, à 10 h

«On n’aime pas être omis des documents, mais au vu de la réponse du gouvernement on dirait qu’il n’y a pas à s’inquiéter», dit Réginald Roy, président de la FCSFA. Il ajoute : «j’ai fait un appel auprès du Ministère aujourd’hui. Ce que j’ai entendu dire c’est qu’aucun changement ne sera apporté au curriculum de 2017 concernant les perspectives francophones. J’ai alors fait une demande au gouvernement pour que cela soit annoncé officiellement afin de répondre aux inquiétudes de la communauté.»

Plusieurs parents d’élèves francophones s’étaient inquiétés après la présentation du rapport par Ariana LaGrange, ministre de l’Éducation. Il comporte 26 recommandations faites par un comité de consultation, mais pas de trace de francophones.

Le mot n’y figure qu’une fois, à la fin. La Fédération des Conseils Scolaires Francophones de l’Alberta y est remerciée parmi «les partenaires du secteur de l’éducation qui ont partagé leurs points de vue sur le système éducatif de la maternelle à la 12e année.» Réginald Roy confirme que la FCSFA a bien participé à une session de consultations. «Nous nous sommes entretenus deux heures face au panel, ils étaient très à l’écoute.»

«Un gadget permettant d’absorber de la nicotine.» Il n’existe pas 10 000 façons de définir la cigarette électronique, explique l’urgentologue et toxicologue Martin Laliberté. «Ce n’est ni plus ni moins qu’une version du tabac moderne», confie le professeur adjoint au Centre universitaire de Santé Mc Gill. Avec «les mêmes risques de dépendance à la nicotine». Et plus elle est consommée tôt dans la vie de l’individu, plus le risque de dépendance est accru, et par conséquence, les risques de cancers et de maladies cardiovasculaires aussi.

Chaque année, sept personnes qui se consacrent à l’épanouissement de la vie française en Amérique peuvent être admises à l’Ordre des francophones d’Amérique, à raison de deux personnes du Québec, et une personne pour chacune des régions suivantes : Atlantique, Ontario, Ouest canadien et les territoires, Amériques (autres) et autres continents.

Depuis 1978, plus de 325 personnes ont été reçues. De ce nombre, 92 viennent du Québec, et des tranches de 40 à 46 de l’Acadie, de l’Ontario, de l’Ouest, des États-Unis et de l’Europe (dont 25 de la France). Une quinzaine de récipiendaires viennent d’ailleurs dans les Amériques, de l’Afrique et de l’Asie.

Rappelons d’abord que M. Paulin a œuvré pendant plusieurs décennies en journalisme, en particulier en milieu minoritaire : il a été journaliste pour Radio-Canada en Saskatchewan et en Atlantique, puis journaliste indépendant sur la Colline du Parlement à Ottawa. Il a aussi été collaborateur à Radio-Canada International, à Radio Vatican et à la Radio suisse romande. Au tournant des années 2000, il a choisi de se consacrer à l’enseignement du journalisme au collège La Cité à Ottawa.

À l’annonce de son décès, Francopresse avait publié les passages tirés de la centaine de chroniques qu’il avait signées. Aujourd’hui, le service de nouvelles de l’Association de la presse francophone présente une dizaine de chroniques de ce fidèle collaborateur.

Différentes situations d’urgence peuvent survenir en un clin d’œil : un accident de transport sur la route, un feu, une intrusion par des activistes, une brèche de données informatiques, une maladie affectant les cultures de la ferme ou les animaux ou encore des désastres météorologiques comme une inondation, une vague de chaleur extrême ou une tornade. L’hiver apporte même son lot de situations urgentes avec des quantités importantes de neige, des effondrements possibles ou des difficultés d’approvisionnement, etc.

Cet article est puisé des archives du journal Le Voyageur. Ce que vous lirez est le fruit d’une entrevue publiée en aout 2019.

Vers la fin des années 1990, Prise de parole a voulu combler le vide laissé par la fermeture des Éditions de l’Acadie et a commencé à publier des auteurs de la région, tels que Herménégilde Chiasson, France Daigle, Rose Després, Pierre-André Doucet et Daniel H. Dugas.

En janvier, Postes Canada dévoilait un timbre-poste qui rappelle le Colored Hockey Championship, championnat disputé en Atlantique par des équipes de hockey composées exclusivement de joueurs noirs. Ainsi, la société profite du Mois de l’histoire des Noirs pour mettre à l’avant-scène une époque qu’elle estime peu connue de l’histoire du hockey.

Les communiqués de la Gendarmerie royale du Canada (GRC) du Yukon sont on ne peut plus clairs : même les personnes les plus expérimentées sont à risque lorsque le mercure touche les extrêmes du thermomètre.

Ces températures, les plus froides enregistrées depuis 2008, ne sont toutefois pas une raison valide de fermer les écoles, selon le ministère de l’Éducation. Seules les conditions qualifiées de vraiment extrêmes peuvent nécessiter la fermeture d’une école. Par exemple, un incident mécanique, ou un évènement pouvant mettre en danger le personnel et les élèves seraient des raisons valables.

L’une de vos grandes priorités est la mise en place d’un cadre national d’action pour la culture. De quoi s’agit-il?

Marie-Christine Morin : Le cadre national, ou politique culturelle canadienne, est une idée qu’on a mise de l’avant de façon plus formelle l’an dernier, donc en 2019, mais la réflexion a été entamée depuis plusieurs années. C’est une façon cohérente de rassembler toutes de sortes de gros éléments qui se passent présentement dans le paysage : les révisions législatives actuelles, la loi sur les droits d’auteur, la loi sur la radiodiffusion ou encore la stratégie d’exportation du fédéral. Il y a aussi toute la réflexion sur la diplomatie culturelle qui interpelle cette question-là aussi. Toutes les personnes qu’on rencontre à qui on dit qu’on n’a pas de politique culturelle au Canada sont extrêmement surprises.

L’ultramarathon Montane Yukon Arctic Ultra, actuellement en cours, est réputé comme l’un des plus difficiles au monde : jusqu’à 690 kilomètres en totale autonomie, dans des conditions climatiques souvent extrêmes. La course suit le tracé de la mythique Yukon Quest et des athlètes du monde entier s’y retrouvent chaque année. Pour cette 17e édition, trois distances sont proposées : le marathon, le 100 miles (160 km) et le 300 miles (482 km). C’est à cette dernière épreuve qu’Hervé Acosta, Victor Hugo Docarmo et Patrick Sumi, les fondateurs de l’association Out’Cha, ont choisi de participer.

Face au nombre impressionnant de podcasts anglophones sur la franchise canadienne, il nous semblait important que la francophonie soit représentée dans ce domaine du fait de la présence de trois joueurs (Siakam, Ibaka, Boucher) et un assistant (Mutombo) parlant français chez les Raptors, ainsi que deux représentants francophones chez les 905 (Mélanie Danna et Charles Dube-Brais).

«Débuter l’année avec une entente ratifiée est une merveilleuse nouvelle», s’enthousiasme Dyane Adam, présidente du Conseil de gouvernance de l’UOF. «Nous sommes ravis d’atteindre ce jalon historique et d’accueillir, comme prévu, les premières cohortes à l’automne 2021.»

Francopresse vous en avait parlé en novembre 2018. La création d’ateliers de français spécialement conçus pour les sportifs devait permettre de rapprocher en 2019 ceux-ci de leurs admirateurs francophones. Malgré plusieurs appels de la Fondation lancés au sein du monde du sport, tant du côté des équipes professionnelles que des différentes fédérations sportives, il n’y a que l’Impact de Montréal et Judo Canada qui se sont montrés intéressés.

Charles-André Marchand était l’un des responsables de ces cours. Selon celui-ci, «le travail mené auprès des joueurs de l’Impact de Montréal, équipe de soccer de la Major League Soccer, et des athlètes de Judo Canada a été fructueux et répondait à une demande.» Il raconte qu’il a eu jusqu’à huit joueurs de soccer. Un peu moins du côté judokas. Malheureusement, l’expérience ne sera pas renouvelée en 2020.

Selon Lan Anh Vuong, directrice du développement des affaires et opérations pour la Fondation pour la langue française, celle-ci mènera plutôt cette année, au Québec, «un nouveau projet auprès des entreprises sans comité de francisation».

C’est jeudi matin, juste avant 8 h, le 30 janvier 2020. Je suis en voiture et j’écoute Le matin du Nord à la radio régionale de Radio-Canada à Sudbury. L’émission se termine afin de faire place au bulletin «national» de 8 h. Dois-je rappeler qu’en radiodiffusion, ce bulletin est un des plus importants de la journée.

À cela s’ajoute un manque flagrant de données concernant des segments plus vulnérables comme les nouveaux arrivants, les aînés LGBTQ et ceux vivant des défis socio-économiques. Face à cette situation, la FARFO a entrepris des démarches qui lui permettraient de jouer un rôle accru de leadership. Le directeur général de la FARFO, Gilles Fontaine, explique que des pourparlers sont en cours pour obtenir un financement récurrent.

Cachant sa tête dans le sable ne sera plus possible quand il est parti.

«Nous croyons que les membres de la communauté de la Péninsule acadienne sont au courant des risques, mais pour l’instant, peu d’entre eux trouvent une nécessité — voire, une urgence — à l’adaptation», observent en attendant des scientifiques du Projet Adaptation PA.

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