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Élection
Un ancien banquier Rothschild, marié à son meilleur maître d’école, originaire d’Amiens en Picardie, nous le savions. Mais le président de la République nouvellement élu est un homme plein de surprises.
Emguyuel Macron s’est lancé dans les catégories théâtrales au lycée. Il était également avec la fille de Brigitte Macron (à l’époque Trognieux) dans ces ateliers. Le jeune homme prend alors goût à la scène. Et elle a même passé plusieurs castings pour jouer dans des films. Il ne s’est pas décidé et a choisi une autre voie.
Le président de la République a un talent bien connu de ses proches et de ses collaborateurs. C’est un pianiste de talent. Jeune homme, il prend des cours de piano et de solfège. Il obtient même le troisième prix au Conservatoire d’Amiens. Au ministère de l’Economie, ses collègues le surnomment le Mozart de l’Elysée. Était-ce un présage à l’époque ?
Emmanuel Macron a fait des études de philosophie après avoir échoué à entrer à l’École normale supérieure. Il a fait une maîtrise sur Machiavel, puis un diplôme de troisième cycle (précurseur de la maîtrise) sur l’intérêt général. Il assiste ensuite le merveilleux philosophe Paul Ricoeur pendant deux ans. Membre du comité de rédaction de la revue Esprit.
Après le (mauvais) tumulte de leur rencontre du 10 décembre 2016, à l’issue de laquelle il criait à tue-tête, Emmanuel Macron a décidé d’engager un coach vocal. C’est le baryton-basse de l’Opéra de Toulouse, Jean-Philippe Lafont, qui lui donne des leçons. L’objectif de ces séances était de permettre au candidat d’En Marche de se familiariser avec sa respiration et sa diction, notamment par le chant.
Cette anecdote a été révélée dans le documentaire de TF1 « Emmanuel Macron, les scènes d’une victoire ». On y voit le futur président avec un plateau dans le service au volant d’une aire de service autoroutière. Il demande un cordon bleu mais n’arrive pas à l’obtenir car ce plat est réservé au menu enfant. Le candidat d’En Marche a ensuite exprimé sa déception, car il adorait le cordon bleu.
Toute la rédaction de Cosmo est solidaire. Le cordon bleu, c’est sacré !