Le tourisme de la côte Nord retient son souffle

Nous et un nombre limité de nos partenaires publicitaires utilisons des cookies pour collecter certaines de vos informations et les utiliser pour votre plaisir et pour vous fournir du contenu et des publicités personnalisés. Si vous n’êtes pas à l’aise avec ces informations, veuillez vérifier les paramètres de confidentialité de votre appareil et de votre navigateur (Nouvelle fenêtre) avant de poursuivre votre visite. Plus d’informations (Nouvelle fenêtre)

Émilie Dubreuil vous propose une incursion dans le monde des nomades à temps partiel.

Zelensky dit qu’il craint que Trump ne revienne à la Maison Blanche.

L’ancien président républicain est en visite dans le Michigan, un État que Joe Biden lui a pris en 2020.

Une semaine avant la cérémonie d’ouverture, les visiteurs évitent Paris, où cela est perturbé.

Une branche d’arbre a cédé, blessant 3 personnes.

Bien qu’il soit encore trop tôt pour faire le point sur l’achalandage touristique, selon plusieurs organismes et hommes d’affaires, les voyageurs se trouveraient au point de rencontre entre Tadoussac et Blanc-Sablon.

Chaque jour, plusieurs navires partent pour des croisières ou des excursions chez Boréale Maritime Services à Havre-Saint-Pierre. Quant à Baie-Comeau, le directeur du tourisme affirme qu’il est difficile de réserver une chambre d’hôtel par courriel et que les voitures récréatives sont plus que jamais dans les parcs municipaux.

La météo a été clémente au cours du mois de juin et cela s’est fait sentir auprès de la clientèle touristique, affirme la directrice générale de Tourisme Côte-Nord, Joannie Francoeur-Côté.

Cependant, des secteurs tels que Caniapiscau souffrent de catastrophes à base de plantes.

Les incendies qui font rage dans cette zone coupent l’enthousiasme pour ce territoire populaire. C’est dommage », dit-il.

À Havrre-Saint-Pierre, où la saison touristique se concentre sur seulement six semaines, de juillet à août, ils commencent à arriver, bien que les aléas de la côte nord les obligent à s’adapter.

Xavier St-Gelais et Marjorie Villeneuve, deux amoureux de la côte nord ayant quitté Québec, se laissent empêcher par les récents feux de forêt ou les risques de grève. Ils sont au milieu de leur aventure de neuf jours en Minganie.

Nous avons été tenus informés des dates de la grève. Quoi qu’il en soit, nous avions l’option de passer par Saguenay, dit le campeur, son excursion par la Grosse-île au Marteau, dans l’archipel de Mingan.

Il en va de même pour le risque d’incendie : nous avons évidemment été vigilants.

Malgré un début de saison en beauté, à l’approche de vacances structurées, où la grande majorité des Québécois profitent de l’occasion pour visiter la province, c’est tout le secteur touristique qui retient son souffle.

La Société des traversiers du Québec (STQ) a annoncé d’importantes perturbations à son service de traversier entre Matane et la Côte-Nord.

Cela aura certainement un effet négatif sur la circulation sur la côte nord.

Les entreprises et les institutions touristiques pourraient être touchées si les touristes sont moins présents, selon le directeur du tourisme de Baie-Comeau, Mathieu Pineault.

« C’est catastrophique pour le réseau touristique de la côte nord », affirme-t-il sans détour. Les risques internes de ce conflit n’ont rien à voir avec les conséquences économiques qu’il peut avoir.

L’année dernière, nous avons déjà eu une saison touristique compliquée, nous souffrons de cette saison qui a été fortement raccourcie, se plaint Mario Noël, dont l’impatience se fait sentir face au conflit de travail.

Selon un sondage réalisé par le gouvernement du Québec, en 2023, 69 % des Québécois qui étaient en vacances à cette période prévoyaient faire escale dans la province. La côte nord était la destination prévue pour 7% d’entre eux.

Certains voyageurs ont dû adapter temporairement leurs plans à la suite de l’annonce de la STQ. Prendre de l’avance sur le traversier et modifier ses réservations dans trois autres campings : c’est ce qu’a dû faire Mathieu Piché, qui a récemment campé à Sainte-Anne-des-Monts.

Après plus de 3 heures d’attente j’ai vérifié pour avoir la ligne, il y avait des dysfonctionnements dans le système.

Bien qu’il ait réussi à faire les ajustements nécessaires pour poursuivre son aventure à Baie-Comeau et à Sept-Îles, il a une idée pour ceux qui se trouveront dans l’impossibilité.

Bien que certains voyageurs rencontrent des difficultés imprévues, Tourisme Côte-Nord rappelle que la région est toujours disponible à travers plusieurs itinéraires et mérite d’être connue.

Avec la collaboration de Nazdar Roy

Laisser un commentaire

Votre adresse e-mail ne sera pas publiée. Les champs obligatoires sont indiqués avec *