TOKYO – Jusqu’à la fin. Laurence Vincent-Lapointe devra avoir répété cette phrase une dix fois avec des chiens après avoir remporté la médaille d’argent aux deux cents mètres C1 des Jeux Olympiques de Tokyo.
Ce n’est pas l’éloge funèbre qu’elle recherche dans le canal de los angeles Forêt de los angeles mer, alors que le canot féminin fait son merveilleux retour olympique, mais c’est un énorme soulagement pour elle de monter sur le podium à la fin d’une course serrée. , mais surtout deux années terribles.
« Je suis tellement excité. J’en ai parlé (mercredi): le but de ne pas abandonner, jusqu’à la fin. Quoi qu’il arrive: n’abandonnez pas. S’il y a d’autres personnes qui me rattrapent : non (jeudi) matin, dans ma demi-finale, je n’ai pas eu de carrière intelligente, mais j’étais tellement satisfait d’avoir fait la dernière chose que je me suis dit que ça n’avait pas d’importance. ), Je répétais: « Jusqu’à la fin. Je dois pousser jusqu’au bout.
Son temps de 46,786 secondes devance seulement l’Américain de 45 932 ans et champion du monde en titre de 19 ans, Nevin Harrison, qui a remporté l’or.
« Je n’étais pas sûre d’être montée sur le podium », a admis Trifluvienne, 29 ans. J’ai eu une finale où j’ai terminé loin devant les autres. J’ai conduit jusqu’a u bout. Je me sentais intelligent de savoir que j’étais deuxième, pas quatrième. Je suis fier, très fier.
La médaille de bronze est allée à l’Ukrainienne Liudmyla Luzan, en 47 034. Katie Vincent, de l’Ontario (47 834), épouse de Vincent-Lapointe au 500 m C2, dont le classement prendra la position vendredi huitième.
Course ardue
Vincent-Lapointe, six fois champion du monde de distance, ainsi que d’autres titres en C2, a dû faire preuve d’une merveilleuse force intellectuelle pour vaciller.
« Quand je suis parti, j’ai pris un bon départ. Les situations sont idéales pour un utilisateur qui pagaye à sa gauche. J’ai eu un peu de difficulté, mais je me suis dit d’abandonner, jusqu’à la fin!et je me disais: « Non, non, non! »Je l’ai fait. (. . . ) Oui, j’ai treize titres mondiaux, mais cela (en pointant du doigt le drapeau canadien dans lequel il s’était enveloppé), a une autre saveur ».
Cette carrière reflète en quelque sorte une image reflétée des deux dernières années pour elle. Elle n’avait pas participé à un festival étranger depuis le 1er juin 2019, après avoir été reconnue coupable de dopage puis acquittée. Elle a pu s’avérer être victime d’une « contamination croisée » : son ex-mari, qui avait utilisé des produits antidopage à l’insu de Vincent-Lapointe, l’avait infectée.
Lorsqu’il a pu reprendre l’entraînement, la pandémie a forcé tous les navires à rester amarrés.
‘Cela a été incroyablement difficile. Tout le monde m’a dit cette semaine que j’avais vécu des choses si terribles que je suis le plus puissant mentalement ici.
« Si on me disait : « Vous avez la possibilité de le faire demain », même en sachant que je gagnerais l’argent ici, je ne suis pas sûr que je dirais oui. »
Cette occasion a également eu un effet merveilleux sur Katie Vincent, piégée malgré elle dans tout ce tourbillon.
« Cela a été une période difficile pour l’un ou l’autre, mais nous avons tenu bon pour tout cela », a déclaré la céliste Mississauga, déçue de sa huitième place. Je pense que c’est aussi compliqué pour moi que pour elle. Je suis fier d’elle et j’espère que nous pourrons continuer à cette vitesse en C2. »
Jourdenais et Malfesi 14
Trois autres finales ont été jouées mercredi, avec des représentants de la feuille d’érable.
Au K2 1000 m, Vincent Jourdenais, du Québec, et Brian Malfesi, de la Colombie-Britannique, se sont classés sixièmes au festival à la 14e place.
Il en va de même au 200 m K1, où Nicholas Malteev, de Toronto, a pris la sixième place du B ultime pour terminer ses Jeux olympiques en 14e position.
Enfin, la journée de Michelle Russell s’est terminée dans sa première course. Fall River, N. S. , kayakiste a terminé septième de sa demi-finale, en une minute, 55,549 secondes (1: 55,549) et n’a pas réussi en finale A, B et C.