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Faisant écho au slogan de 2008, Barack et Michelle Obama ont fouetté les troupes démocrates.
De nouveaux devront être créés au Québec pour accommoder l’entreprise qui s’engage à les respecter.
Le siège de la chaîne de télévision publique a été gravement endommagé en raison des inondations.
En juillet, le candidat républicain a demandé l’aide de Kennedy lors d’un appel personnel.
Au total, quarante-cinq drones ukrainiens ont été détruits par les systèmes de défense aérienne russes.
« Nous saluons la désescalade intervenue ce week-end », a déclaré une porte-parole du Premier ministre Keir Starmer, assurant que les travaux ne seront terminés que lorsque d’autres personnes se sentiront en sécurité.
Mais il faut se réjouir de ce retour au calme, a-t-il prévenu les journalistes, et nous restons en alerte.
Les émeutes, les plus importantes au Royaume-Uni depuis 2011, ont touché des mosquées et des refuges pour migrants à travers le pays, blessant des dizaines de policiers.
Cette violence raciste et xénophobe a éclaté après l’attaque au couteau qui a coûté la vie à trois femmes âgées de six, sept et neuf ans qui dansaient élégamment le 29 juillet à Southport, dans le nord-ouest de l’Angleterre.
Les rumeurs sur le suspect, présenté comme un demandeur d’asile musulman, se sont répandues sur les réseaux sociaux influents d’extrême droite, conduisant à cette explosion de violences de rue le lendemain dans une douzaine de villes du pays. Angleterre et Irlande du Nord.
La police a dû s’abstenir de révéler l’identité du suspect, Axel Rudakubana, un jeune homme de 17 ans né à Cardiff, la capitale du Pays de Galles, à un cercle de parents au Rwanda, un pays majoritairement chrétien.
La police estime, à l’heure actuelle, que cette attaque est liée au terrorisme.
Samedi, des milliers de Britanniques ont participé à de nouvelles manifestations antiracistes à Newcastle et Manchester, dans le nord de l’Angleterre, à Cardiff, au Pays de Galles, à Glasgow et à Édimbourg, en Écosse ou dans le centre de Londres, rassemblant de nombreuses autres personnes dans la paix.
En Angleterre, les affrontements les plus récents remontent à lundi dernier à Plymouth. En Irlande du Nord, des attaques contre des migrants fugitifs ont eu lieu mercredi et jeudi.
Le gouvernement a attribué cette pause à la propre réaction judiciaire du nouveau gouvernement, en vigueur depuis début juillet au Royaume-Uni. Le Premier ministre Keir Starmer, avocat, n’a pas tardé à activer l’appareil judiciaire pour dissuader les émeutiers, en s’appuyant notamment sur la retransmission des audiences de détermination de la peine à la télévision et sur les portraits des accusés dans les médias.
Au total, plus de 900 personnes ont été arrêtées et plus de 450 ont été traduites en justice pour violences ou incitation à la haine en ligne, a indiqué lundi le NPCC, l’organisme qui regroupe les chefs des forces de police du pays.
Les suspects n’ont pas perdu de temps devant le tribunal et, au cours du week-end, ont ajouté de lourdes peines pénales pour les voyous, mais aussi pour les net-citoyens accusés d’incitation à la haine en ligne.
Deux garçons de 12 ans, considérés comme les plus jeunes accusés, ont reconnu lundi avoir participé à de violentes manifestations contre les immigrés et les islamophobes. Ayant plaidé coupable, ils recevront leur peine plus tard, sans procès.
L’un d’eux a reconnu avoir participé à des jets de pierres depuis un bus devant un hôtel abritant des immigrés le 31 juillet, puis s’être emparé de la vitrine d’un magasin de cigarettes électroniques et avoir lancé un projectile sur des policiers le 3 août.
Quelque 273 des accusés verront leurs affaires examinées par le parquet de l’Angleterre et du Pays de Galles, qui traite les affaires les plus graves, a-t-il déclaré lundi.
Ils risquent des peines allant jusqu’à 10 ans de prison pour le crime le plus grave : les émeutes, a prévenu le procureur Stephen Parkinson.
Downing Street s’est félicité de cette réaction immédiate de la formule judiciaire lundi, qui a permis en quelques jours d’arrêter, d’inculper, de condamner et d’emprisonner des criminels.
Malgré ce répit, le Premier ministre Starmer a annulé des vacances prévues en Europe pour se concentrer sur la crise, selon la même source.