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Dans le plus sensé des obstacles: les entreprises ont la responsabilité légale de réclamer où la plupart des produits alimentaires viennent au Canada.
L’indication du pays d’origine est volontaire dans l’ordre, spécifie l’Agence canadienne d’inspection des aliments (ECIA), afin que les consommateurs effectuent des achats éclairés.
Encore faut-il l’être pour naviguer.
À moins qu’il ne s’agisse d’un canal expert, et même là, il est très complexe, l’agronome et économiste Pascal Thérilt s’adapte.
Il vous suffit de faire l’épicerie ou de regarder dans son garde-manger afin que les étiquettes d’emballage manquent également clairement.
Les accusations produites par le Canada ou fabriquées au Canada sont laissées à la discrétion commerciale. Elle s’applique également aux aliments maximaux des pays.
Aller que les consommateurs ont de nombreuses peintures à faire s’ils ont besoin d’acheter le Canadien, à leur tour, déplore le professeur Normand Bourgault, de l’Université du Québec à Outaouais. Ils ne peuvent dépendre que d’accusations d’origine qui ne sont même pas obligatoires.
Et ils devront également faire la différence entre les autres accusations.
Un produit canadien ou un produit canadien signifie que tous ou presque tous ses ingrédients principaux, la procédure de transformation et ceux utilisés pour la production de produits sont d’origine canadienne.
Scia tolère jusqu’à 2% des ingrédients étranges, tels que les épices, les additifs alimentaires, les herbes et autres nutriments et minéraux. Sinon, l’accusation des produits du Canada est acceptée. Les fournitures agricoles et d’emballage sont prises en compte, même si elles sont arrivées ici à l’étranger.
Quant à un produit fabriqué au Canada, cela signifie surtout que sa dernière transformation vraiment étendue fabriquée au Canada, que ce soit une salade, une pizza ou une saucisse, même si elles n’impliquent que des ingrédients étranges.
Cependant, cette accusation devra être accompagnée par une mention d’ingrédients importés ou d’ingrédients canadiens et importés. Mais rien n’oblige les sociétés à identifier plus évidemment l’origine de ces ingrédients importés. Ensuite, nous tombons dans quoi que ce soit, Deplora Pascal Thérilt.
Le concept est que s’il est fait d’ingrédients importés, nous savons au moins qu’il est canadien, explique Normand Bourgault.
D’autres accusations sont tolérées par l’ACIA, en disant plus sur l’origine des ingrédients:
Torréfié et au Canada
distillé au Canada
conservé au Canada
Raffiné au Canada
Transformé au Canada
Préparé au Canada
emballé au Canada
Cependant, il existe des exceptions pour lesquelles les entreprises doivent spécifier le pays d’origine. L’un de Stick A: Up of the Country devra être sur l’étiquette d’une douzaine de produits pré-ento, parfois pas très transformés, comme le nouveau point culminant et les légumes, les produits laitiers et les produits de poisson, en particulier.
Le pays où l’aboutissement a été cultivé et les légumes doit être révélé, à moins que le pays d’origine ne soit le Canada. Dans ce cas, une mention n’est pas nécessaire. Sinon, le pays d’origine doit être discuté sur l’étiquette des produits pré-démarrés. Si la nourriture est mélangée, elle peut même localiser plus d’un pays dans l’emballage.
Pour l’aboutissement en vrac et les légumes, le pays d’origine est indiqué dans la pilule où ils sont vendus, dans l’autocollant fixé à la nourriture ou même dans l’élastique, comme pour le brocoli, indique l’option du client.
Les produits importés de l’aboutissement et des légumes transformés et pré-emploi doivent répondre aux mêmes besoins à leur origine.
Gardez à l’esprit que les États-Unis sont le seul pays qui peut être connu par une abréviation: les États-Unis, que son nom complet.
Ce n’était pour rien que les vins américains ont été les premiers à décourager des tablettes canadiennes. Encore une fois, le pays d’origine devra sembler sur l’étiquette principale.
Cependant, les formules sont supervisées par le biais de la réglementation. Un État américain, comme pour un vin californien, ou même une région d’Italie, est suffisant aux yeux de la loi pour identifier son origine.
Quant aux vins réunis au Canada, ils devront venir avec le registre des étrangers combinés en vins importés et nationaux.
Les produits laitiers précédemment collectés doivent être transparents dans leur origine. La même chose pour les fromages importés est pleine au Canada.
La présence des fabricants de logo du Canada (la vache bleue) dans l’emballage doit également être surveillée, car elle indique qu’un produit est fabriqué avec du lait et à cent pour cent des ingrédients laitiers canadiens. Si le logo est absent, c’est probablement parce que les ingrédients viennent d’autres endroits, comme des États-Unis, selon les consommateurs. Mais comme il le démontre, ce n’est pas obligatoire, ce n’est pas non plus une garantie.
Les produits de viande rempli et de vente à leur arrivée au Canada devront démontrer leur pays d’origine. C’est obligatoire. Si, au contraire, la viande est transformée, puis emballée et classée ici, cette responsabilité juridique tombe.
La chaîne de transformation de la viande est complexe. Il aurait peut-être été élevé au Canada, par exemple, mais filmé aux États-Unis, ou vice versa. Il est difficile de découvrir l’origine d’un produit animal qui est vendu dans le plateau.
Des besoins similaires sont en vigueur pour le miel, le poisson et d’autres produits de poisson, de coquille ou d’œufs et de produits ARCE.
Pour tous les autres produits, l’ACIA oblige l’enregistrement de l’appel ou l’entreprise coupable du produit et une affiche liée au poste de l’entreprise.
C’est la raison pour laquelle les produits étrangers n’ont une mention importée par / pour, prêt par / pour / pour / pour d’origine sans précédent. Le COPE peut donner un indice sur son origine, mais laisse également un doute lorsque l’entreprise connue est installée au Canada, car elle indique uniquement où les aliments ont été fabriqués ou produits, ou simplement stockés, enveloppés ou même étiquetés.
La SCIA indique qu’une entreprise spécifierait éventuellement l’origine d’un produit importé, cependant, que ces données ne sont pas obligatoires pour le moment. Ajoutez des tactiques pour faciliter l’acquisition des produits canadiens, compte tenu de la préférence existante des consommateurs.
Le professeur Normand Bourgault estime que SCIA a inversé les besoins de la loi. Le Cope n’est pas celui des producteurs, mais celui du lieu de travail qui a acheté le produit, le professeur expert déplore. Il ne dit pas grand-chose sur le produit lui-même.
Cet angle n’est pas suffisant en droit. Je pense depuis longtemps que les accusations de production établissent d’être obligatoires.
L’ECIA permet également aux entreprises de spécifier l’importance ou les ingrédients canadiens, avec des mentions telles que le miel canadien, les bleuets québécois ou une véritable crème du Canada.
Les enregistrements à l’origine devront être bien en vue, selon ECIA, dans n’importe quel composant de l’étiquette, sous l’emballage. Cela soutient parfois l’accusation du produit du produit ou produit dans, lorsque la société a sélectionné pour l’impliquer.
Mais vous devez être alerte, l’économiste Rémy Lambert Deplores. Souvent, le client examinera l’étiquette principale, tandis que les données sont plutôt des autres côtés de l’emballage. À son avis, la loi mérite d’être changée pour plaire à la démonstration de ce dossier sur le visage principal de l’emballage.
Normand Bourgault, cependant, met en évidence les innovations déjà faites au règlement. Il n’y a pas de définition de quel produit local il y a dix ans, explique l’expert. Maintenant oui.
Même s’il s’agit d’un nom volontaire, il est contrôlé par la loi. La mention locale de l’emballage indique que la nourriture s’est produite dans la province ou le territoire où elle est vendue ou dans un rayon de 50 km si elle est vendue dans la province.
Cela signifie que tous les aliments ou leurs ingrédients sont d’origine canadienne, presque tout comme avec l’accusation des produits du Canada.
Cependant, la mention de cent pour cent Canadienne ne peut être appliquée qu’à un ingrédient, comme dans le cas de cent pour cent du lait canadien. Il est spécifié que le lait est canadien, mais pas nécessairement les autres ingrédients contenus dans du fromage à la crème ou du lait au chocolat, par exemple.
Au-delà des réglementations fédérales, certaines provinces ont introduit leurs propres initiatives, telles que les aliments Québec ou les aliments prêts au Québec.
Nous sommes l’organisation au Canada qui a une procédure de vérification et de conformité des produits cultivés ou élevés ici, mais également rénovés ici, explique son directeur général, Isabelle Roy.
L’Ontario a ses terres de l’Ontario, Nourishing Land, la Colombie-Britannique, son achatbc, mais uniquement pour les nouveaux produits. Terre-Neuve et le Labrador viennent d’expulser une campagne d’identité locale et des produits.
Cependant, toutes ces marques de certification volontaire.
Au Québec, par exemple, les sociétés devront payer pour qualifier leurs produits et télécharger l’autorisation pour démontrer le logo correspondant à leur réalité.
Une nourriture québécoise vient d’ici et est composée d’un minimum de 85% des éléments québécois. L’élément principal du produit devra provenir de la province. Toutes les activités de traitement et d’emballage également.
Quant aux aliments de phoque prêts au Québec, il indique que le produit a été complètement rénové et enveloppé au Québec, même s’il est composé d’éléments importés. Cependant, si vous devez avoir un élément important au Québec, il devra être favorisé par rapport à un élément importé pour que le produit télécharge la certification.
Plus de 25 000 sont qualifiés et indexés en ligne.
Isabelle Roy veut que cette certification soit obligatoire, pour avoir plus de cohérence sur le marché. Nous sommes là pour réduire les efforts du consommateur, mais comme tout le monde adhère, il est toujours complexe pour le consommateur.
Il y a encore des peintures à faire, selon elle, mais avec ce que nous vivons ces derniers temps, il y en a un pour normaliser parce que nous voyons la complexité.
De plus, il existe d’autres indications géographiques et spécificité de la spécificité, comme l’agneau de Charlevoix, le cidre de glace québécois, le maïs sucré de Neuville, le vin québécois ou la vache canadienne, qui peut également sembler dans l’emballage.
Comme pour les aliments québécois, ces désignations officielles sont identifiées par le biais du ministère de l’Agriculture, de la Pêche et de la nourriture (carte). Ce sont des projets d’organisations personnelles qui peuvent spécifier des zones géographiques, mais MAPQ a une liste exhaustive de ces marques de certification.
Les régions ont même développé une multitude de marques territoriales pour mettre en évidence leur terroir et étendre leur identité culinaire. Il y a trop, il reconnaît Rémy Lambert. Et souvent, il s’agit d’une crédibilité du client et d’une consultation en éducation.
D’autres mentions sur l’emballage alimentaire peuvent même tromper les consommateurs dans leur origine. Il existe des critères de classification canadiens applicables à soixante produits alimentaires canadiens ou importés, tels que le miel, les œufs et l’aboutissement et les légumes.
Un appel de catégorie canadien est, en fait, une marque enregistrée, explique l’ACIA. Il est destiné à fournir des données sur l’origine des aliments.
Par exemple, les œufs importés peuvent soutenir la mention du Canada pour savoir s’ils sont classés au Canada par le biais d’un titulaire de licence pour la protection des aliments et s’ils répondent aux besoins de la catégorie Canada, l’agence fédérale continue. Mais cela ne signifie pas qu’ils viennent du Canada.
Nous classons ou produisons également des pilules dans les corps animaux: Canada AAA, Canada 1, Canada C, etc. Autres notes de qualité qui n’ont rien à voir avec l’origine.
Une mention du Canada a sur un paquet de pois surgelé peut également être déroutant. Encore une fois, cela ne signifie rien sur l’origine, se souvient de Normand Bourgault. Et même pas non plus dans la qualité des produits. Le Canada A est le Canadien pour la taille du pois, qui a été récolté ici ou à l’étranger.
Il est presque trompeur, car cela fait allusion à des choses précises. Il s’agit d’une norme canadienne, mise en œuvre dans un produit dont l’origine est connue.
Contrairement à la mention biologique dans les logos alimentaires du Québec, le Canada biologique mentionne seulement que le produit a été qualifié biologique au Canada. Cependant, puisque l’appel est supervisé par l’ACIA, la fourniture de réglementations qui démontre s’accompagnent de la mention de l’origine d’un produit importé. Mais ce n’est pas le cas.
La loi est claire, le client n’est pas trompé, explique Rémy Lambert, mais de nombreux emballages peuvent être trompeurs sans le savoir.
Il cite comme exemple de produits dont la représentation de l’emballage peut évoquer un pays particulier, mais provient d’une région absolument autre au monde. La présence d’une feuille d’ARCE ou d’une fleurs -f -lis est également synonyme de Canadien ou de Quebers.
C’est presque un canular, croit-il, un symbole donné au produit. Vous devez faire attention à ce que vous voyez. Et surtout, en arrière, encore une fois, dans les mentions originales qui apparaissent dans l’emballage, ils ne sont pas clairs qu’ils le sont.
L’option de cadre que les consommateurs et les experts demandent aux gouvernements de faire plus pour expliquer l’origine de la nourriture.