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« La participation de 17 ministres au vote pour la présidence de l’Assemblée est une violation de la séparation des pouvoirs », a dénoncé Mathilde Panot dans l’hémicycle de La France Insoumise.
Le poste de président de la commission des finances est historiquement réservé à un membre du premier groupe d’opposition, mais l’absence de majorité transparente au Palais des Bourbons brouille les pistes. La députée républicaine de droite Véronique Louwagie est également candidate, tout comme Jean-Philippe Tanguy (Rassemblement national).
C’est la fin de ce live, merci de nous suivre massivement et pour vos nombreuses contributions. Nous ne pourrons pas relancer une émission en direct si l’actualité l’exige.
En attendant, vous pouvez continuer à lire tous nos articles sur la politique dans cette section.
Invitée du « 20 heures » de France 2 samedi après-midi, la présidente réélue de l’Assemblée nationale, Yaël Braun-Pivet (Ensemble pour la République, champ présidentiel), a estimé qu' »il n’est pas normal » que le Rassemblement national, avec Avec 142 députés, il n’avait aucun représentant à la table de l’institution, alors qu’il occupait deux vice-présidences, avec 89 députés, depuis les élections législatives de 2022.
Braun-Pivet a blâmé le Nouveau Front populaire pour cette situation : « Depuis que je préside cette institution, j’ai plaidé pour que toutes les forces politiques soient représentées au pouvoir », a-t-il dit, avant de remettre en cause le Nouveau Front populaire : « Nous avons des règlements et nous avons la possibilité d’avoir un accord des présidents de l’organisation afin que tout le monde puisse être représenté équitablement dans le bureau. Les présidents des organisations, en particulier ceux du Nouveau Front populaire, ont refusé de permettre un accord pour une répartition équitable des postes. Et donc, quand il n’y a pas d’accord à l’Assemblée nationale, il y a un vote. Et là, nous avons vraiment assisté à un vote certainement surprenant, au cours duquel le Rassemblement national a voté pour des candidats de La France insoumise, s’est retiré, et peut donc tout simplement ne pas être élu à ces postes vitaux. »
Yaël Braun-Pivet s’est dite « respectueuse du vote des Français » et a assuré : « La voix du Rassemblement national sera entendue à l’Assemblée nationale ».
Il a malgré tout démenti les spéculations selon lesquelles Emmanuel Macron proposerait au Nouveau Front populaire de former un gouvernement : « Ce n’est pas une majorité. Il faudra former une majorité. Cela se construit, ce doit être l’Assemblée des expansions et non celle des divisions. »
Le dernier des trois jours d’installation de la nouvelle Assemblée nationale s’est déroulé avec moins d’événements que les deux premiers, mais non sans surprises. L’accord sur les positions clés entre l’ancienne majorité et la Droite républicaine (RD, ex-Les Républicains) a porté ses fruits, puisqu’il a permis aux macronistes de rester à la tête de six des huit commissions statutaires, soit une de moins que lors de la dernière législature.
En revanche, l’organisation RD n’a pas réussi à s’acquitter de la présidence de la commission des finances stratégiques qui lui était confiée. Une demi-surprise, dans ce cas, que la coalition présidentielle ait promis tout ce qu’elle n’a pas tenu.
Pour lire la suite de l’enquête à travers nos journalistes Mariama Darame et Rachel Garrat-Valcarcel, cliquez ci-dessous :
La France Insoumise (LFI) a présenté samedi un recours au Conseil constitutionnel pour contester la participation de 17 députés, ministres démissionnaires, à l’élection de Yaël Braun-Pivet à la présidence de l’Assemblée.
« La participation de 17 ministres au vote pour la présidence de l’Assemblée est une violation de la séparation des pouvoirs. Nous allons présenter un recours au Conseil constitutionnel ! », écrit Mathilde Panot, présidente du groupe parlementaire Array sur X.
Le Conseil avait déjà annoncé vendredi, dans un accord qui le saisissait, qu’il n’était pas compétent pour se prononcer sur cette contestation du vote.
Bonjour Jean, Dans son discours après son élection, Eric Coquerel a précisé que si le Nouveau Front Populaire formait un gouvernement, il quitterait la présidence de la commission des finances.
Marine Le Pen se dit « outrée » que le Rassemblement national n’ait ni la présidence ni la vice-présidence de la commission à l’Assemblée nationale, en raison du bombardement du camp présidentiel et de la gauche.
« Je n’ai aucune déception personnelle. Je crois que la démocratie, c’est le respect de l’électorat. Du moment où environ 11 millions d’électeurs sont traités comme des parias et exclus, en violation du règlement de l’Assemblée nationale, de tout poste au sein de cette institution, je ne suis pas déçu, mais indigné. Ce qui prédomine, c’est l’indignation », a déclaré l’ancien candidat à la présidentielle à BFM-TV.
« Avec le choix que nous avons fait, nous avons défendu la démocratie, le pluralisme, en allant au-delà des positions partisanes, et cela nous coûte, comme vous pouvez l’imaginer, mais c’est un signal très vital que nous avons cherché à envoyer. Cependant, une fois auparavant, nous avons assisté à des farces, à des manœuvres, qui consistaient à chercher à arracher des positions auxquelles on n’avait pas droit. »
Dans une interview accordée au Parisien, Marine Le Pen s’indigne du fait que des députés du camp présidentiel aient participé au vote pour la présidence de la commission des finances, tout en s’abstenant depuis 2007, pour permettre l’élection d’un membre de l’opposition. Les macronistes ont voté pour l’élue de droite Véronique Louwagie, qui a néanmoins été battue par le député (La France Insoumise) Eric Coquerel.
« La majorité du bloc central pourrait tout simplement ne pas voter pour elle parce que, en général, elle ne participe pas au vote en commission des finances. Cela montre, surtout, qu’il n’y a plus de réglementation à l’Assemblée nationale. il y a une zone de non-droit », a ajouté Le Pen.