Un coup d’oeil à un jeu de basket-ball sur un terrain multisports dans l’ouest de Paris, en juin 2018. THOMAS SAMSON/ AFP
De l’école de président de la soi-of-the-mill, de la canap pour le lit, la rébellion et le lendemain, Dans leur vie quotidienne, de nombreux adolescents fournissent que très peu d’effort physique.
Trop peu, même, selon l’Organisation Mondiale de la Santé (OMS), qui met en garde contre les effets récents de cette inactivité, dans une étude publiée vendredi 22 novembre dans la revue médicale the Lancet Enfant
Pour arriver à cette estimation, les chercheurs ont compilé les données recueillies par le biais de l’école de 1,6 million de 11 à 17 ans vivant dans 146 pays différents. Ces jeunes ont fourni des questionnaires sur leur physique des personnes à charge au sens le plus large, y compris le sport, mais aussi des placements actifs tels que la marche, la ou les tâches domestiques, explique Regina Guthold de l’OMS, le principal auteur de l’étude.
Mais ces résultats sont probablement les meilleures estimations disponibles des niveaux mondial, régional et des tendances temporelles dans les niveaux d’activité physique des adolescents, dit Mark Tremblay de l’Hôpital de l’Institut de Recherche sur les enfants dans l’est de l’Ontario, au Canada, dans un commentaire accompagnant l’examen.
Sa conclusion est claire: les adolescents sont trop dentaire. Et le problème ne se limite pas aux pays riches. Par exemple, en 2016, la prévalence de l’inactivité physique des jeunes était de 78,4% en république de Moldova, 87,5% en Egypte, 93.4% aux Philippines, de 84,7% au Pérou et 87% en France.
Le manque de connaissances ou de compétences, d’un manque de sécurité de l’infrastructure, l’augmentation du temps passé en face des encoches: de nombreuses explications sont avancées pour expliquer cette pidmie de la paresse.
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Cependant, il met en danger la santé des adolescents: le Manque de physique disactiveness conduit à une augmentation du risque de surpoids et de maladies chroniques comme le diabète ou les maux de dos, de la taille Chiara Testera, de la Fondation de Promotion de la Sant de la Suisse. L’exercice régulier est propice au développement cognitif et, par conséquent, la capacité d’apprentissage, dit Regina Guthold. Il est également propice à l’établissement de liens sociaux. Enfin, les études suggèrent que la participation active des adolescents ont tendance à le rester adulte.