Le Prince Andrew, paria de la famille royale Britannique – Le Figaro

Correspondant À Londres

Dans les couloirs du Palais de Buckingham, savan a le spectre d’une nouvelle Annus horribilis. L’expression est de la Reine elle-même, quand, en 1992, rien n’avait été pargned pour elle. Ses deux fils étaient nés par leurs respectifs, notamment les orbites denses, sa fille Anne avait divorcé et le château de Windsor avait été ravagé par les flammes. Cette fois, il s’agissait de son second fils, qui était en danger. Le Prince Andrew, qui était impliqué dans le virus d’Epstein cas, avait essayé de se défendre lui-même dans une interview le week-end dernier. Il a été calamiteuse. Depuis, l’incendie avait gagné du terrain et la Couronne devait être protégé. Une déclaration de Buckingham a annoncé mercredi soir que le Duc d’York était la fin de toutes ses engagements publics, un non-dits pisode dans l’histoire de la monarchie Britannique. Le prince admet que l’association de son nom avec celui de la millionnaire ophile – retrouvé mort dans la prison de l’année dernière à New – York, a causé préjudice de la turbulence au travail

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