Changement virtuel accéléré pour recruter des étudiants

Cependant, les établissements d’enseignement supérieur ont été pris par surprise dans cette situation, au contraire, ils semblent même en profiter pour l’instant.

L’UQTR, par exemple, avait déjà fait des plans depuis un certain temps pour faire la transition primaire vers le virtuel mondial afin d’enrichir ses interventions promotionnelles avec sa clientèle à long terme. L’avènement de la pandémie a donné l’impulsion finale à cette « pandémie a dépassé les plans », explique Yvon Laplante, directeur de la direction des communications et des relations avec les diplômés de l’Université trifluvienne.

Au Cégep de Shawinigan, le changement virtuel d’embauche est également en cours. « Cela a permis d’accélérer les choses », a déclaré Nathalie Houle, gestionnaire du recrutement et du développement à l’étranger.

Avec quelques mois en arrière, on peut même dire  » il y a des succès qu’on a eus de COVIDE et qu’on va garder « , dit Yvon Laplante.

«Les expositions qui se tenaient, par exemple en France, sont devenues virtuelles. C’est pourquoi nous participons à ces foires virtuelles pour offrir le Cégep de Trois-Rivières à des universitaires étrangers de longue date», explique Isabelle Bourque, responsable des communications. «Le fait que les activités de recrutement des universitaires québécois aient lieu cette année signifie pratiquement que les universitaires étrangers peuvent participer», ajoute-t-il. «Les universitaires internationaux participent aux activités des« étudiants d’un jour », ce qu’ils n’ont peut-être pas fait auparavant», dit-elle.

Avant la pandémie, l’UQTR a fait une escale dans 67 écoles pour inviter les étudiants à poursuivre des études supérieures à domicile; cependant, l’échelle de cette année s’est déroulée sur deux jours en mode virtuel en octobre.

«Nous retournons à nos portes ouvertes dans la vraie vie, bien sûr, quand nous le pouvons. C’est définitif», dit Yvon Laplante. Cependant, ce qui est certain maintenant, dit-il, c’est que «dans le futur, nous élargirons les modèles hybrides».

Les signes sur ce sujet sont verts. Pour sa journée portes ouvertes virtuelle ce samedi, de 10. m h à 17 h (uqtr. ca/choisiruqtr) « nous avons plus d’inscriptions qu’à cette date l’an dernier pour le jour de la journée », a déclaré M. Laplante.

Comme l’appel était supérieur du côté des étudiants étrangers, l’UQTR a même chargé la semaine dernière un kiosque de données virtuelles pour eux.

Yvon Laplante souligne que ce nouveau virtuel répond à un besoin.

Au Cégep de Shawinigan, les portes ouvertes virtuelles ont attiré 374 demandes sur environ 300 au total, dit Nathalie Houle.

Auparavant, un étudiant pouvait passer une journée complète au Collège pour vérifier la sélection de son programme. Cette année, si vous le souhaitez, vous pouvez suivre un cours en ligne. Le Cégep de Shawinigan offre également aux candidats une visite virtuelle à 360 degrés, un concept répétitif. dans de nombreux établissements d’enseignement.

Tous les moyens ont été mis pour continuer à attirer de nouveaux universitaires malgré les restrictions de condition physique. « Nous avons repensé notre page en ligne pour faciliter l’utilisation de la navigation. Nous avons ajouté des médias afin que les universitaires à long terme puissent réussir en nous : chat, textos, réunions Zoom, etc. », explique Anne-Laurence Jacob, de la branche communication du Collège Lafléche.

Ce passage au monde virtuel, qui malgré la pandémie nous permet de rester attachés, est néanmoins devenu un plus pour les établissements et les universitaires de l’UQTR. « Nous apprenons que notre activité de recrutement est en cours. d’autres personnes se sont inscrites à notre journée portes ouvertes virtuelles, elles ont déjà commencé à s’associer avec nos conseillers auprès d’universitaires à long terme », explique Yvon Laplante. C’est une promesse tenue d’une activité de recrutement », dit-il.

Au Cégep de Trois-Rivières, les journées portes ouvertes virtuelles ont eu lieu les 3 et 4 novembre, grâce à la plate-forme po. cegeptr. qc. ca, ces portes virtuelles demeureront ouvertes jusqu’au 30 novembre, indique Isabelle Bourque.

« C’est plus agile comme moyen de communication, dit Yvon Laplante. « Cela dépend du client lorsqu’il est le plus productif pour lui de se localiser », dit-il. « Cela nous permet d’apporter une aide beaucoup plus individualisée à long terme. diriger les érudits que nous recevon », dit-il.

On pourrait penser que l’avènement d’une nouvelle approche d’approvisionnement nécessiterait des investissements importants et davantage de ressources humaines. Toutefois, Yvon Laplante affirme que ce n’est pas le cas. Toutefois, dit-il, « nous avons dû absolument réinventer nos approches d’embauche ». automne, nous avons participé à 8 salons de l’industrie étrangère. Habituellement, dans nos budgets, nous faisons 4 ou cinq par an », dans le présent. Nous évitons pratiquement toute logistique de voyage et d’hébergement. Au fil du temps, l’UQTR participera de nouveau à l’industrie étrangère, croit-il. Laplante, « mais nous allons les adapter avec beaucoup d’autres approches que nous avons évolué et subtile COVIDE.  »

« La chose la plus complexe est de ne pas se déployer, c’est de s’occuper des diversifications dans les règles qui découlent du gouvernement du Québec, rarement du gouvernement du Canada, de la CNESST. Nous devons adapter nos pratiques. Nous devons moduler notre message. candidats étrangers », dit Yvon Laplante.

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