Narbna: « click and go » au ralenti en attendant la réouverture des plus petits

Il existe une gamme de plates-formes pour donner de la visibilité aux commerçants du centre, à Narbbona comme dans le département. Mais passer d’un spectacle physique à une web-show n’est pas un fait. Certains démontrent leur « 06 » dans la vitrine, d’autres sont sur Facebook et Instagram pour les passants qui se tiennent devant leurs affiches.

Sephora, rue Jean-Jaurs, propose de « cliquer et ramasser », c’est-à-dire de placer des commandes en ligne dans la franchise et de les retirer librement dans le magasin en 2 heures; ou « appeler et facturer », c’est-à-dire appeler Narbon directement, en attendant qu’un lien soit envoyé par courriel pour payer l’achat, puis le retrait en magasin. D’autres entreprises ne facturent pas ou plus.

L’appel

Stéphanie, gérante de Muy Mucho (design d’intérieur, parfums de la maison) « ne peut pas créer son propre compte dans l’appel de la franchise » et c’est pourquoi elle laisse ses principaux points non publics dans la vitrine – Facebook, 06 – pour rester en contact avec les Confinés dans sa boutique de la rue Jean-Jaurs, tourne sur le buffet et met de la musique pour donner le fantôme du monde pré-Covid. . . Mais « les clients qui m’appellent en ligne me disent qu’ils viendront plus tard », quand ils seront en mesure de prendre soin des articles à vendre et de décider d’un parfum fait maison autre que sur Internet. Depuis le début de la controverse, Stephanie Debez a reçu un total de vingt commandes en ligne. Ce manager regarde vers l’avenir jusqu’à mardi soir, et en écoutant Emmanuel Macron annoncer l’ouverture dès le week-end prochain.

L’opticien du Comptoir de l’Optique, qui a permis de rester ouvert mais sans passer par la rue piétonne abandonnée, a choisi de peindre sur rendez-vous. Pour remplacer la batterie d’une montre étanche, les bijoux bousquet sont fermés, mais l’atelier de peinture de Bijou est « disponible sur rendez-vous », et le bijoutier Fabien Cardona rue Droite, que l’on voit dans la loupe de l’image boulonnée dans l’œil de son œil de son banc d’yeux, a la partie de la course de rideau. Il s’avère être en mesure d’aider, mais à cette époque, il n’ose plus demander. Plus fataliste, le directeur de Maxi-Books dans le centre-ville parle à un visiteur potentiel intéressé par un dessin encadré dans une vitrine. Il le fait de loin, masqué, la porte entrouverte de quelques centimètres. « Ils n’ont pas besoin de nous pour mourir. Ils nous sauvent de la vie alors . . . nous allons mourir de toute façon. vous lisez sur un panneau.

Ce genre de scénario préfigure-t-il l’industrie du centre-ville de demain, comme vous l’imaginez à travers les architectes et les urbanistes qui planifient le mondial de demain ?C’est-à-dire 4 murs et une fenêtre au rez-de-chaussée dans une zone piétonne où le client est invité. pour voir, toucher, participer à la présentation de micro-événements, des collations publicitaires, avant de cliquer sur un tt présenté à travers une caisse enregistreuse, payer sans contact et rentrer à la maison. . . où il sera livré. La Fnac (Connect) est déjà à la recherche de ses « expériences ludiques » dans le centre-ville, mais les petits grands magasins vont-ils suivre ?Il est utile d’exister pour configurer votre site Web et conduire la transition vers celui global. Mais est-ce ce que nous voulons vouloir?

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