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En plus de fermer ses entrepôts et ses centres de tri, le géant confiera sa livraison à des sous-traitants.
Perdu de piste ? Vous trouverez ci-dessous une liste exhaustive, mise à jour quotidiennement, de tous les décrets signés.
Les flammes se propagent rapidement et ont détruit 1400 hectares en moins de deux heures.
Selon lui, les partenaires impliqués dans cette mission n’ont pas les moyens de la financer.
Cette mesure s’inscrit dans le cadre des décisions anti-immigration draconiennes prises par Donald Trump.
Le chef de l’opposition officielle, Pierre Poilievre, a commencé son message sur X par cette phrase : Rien n’a changé.
Le chef du Parti conservateur du Canada (PCC) affirme que tous les députés libéraux et candidats à la direction ont soutenu TOUT ce que Trudeau a fait pendant neuf ans.
Selon M. Poilievre, le clan libéral tente maintenant de tromper les électeurs en [proposant] un autre visage libéral pour continuer à arnaquer les Canadiens pendant encore quatre ans, tout comme Justin Trudeau.
Dans un discours prononcé devant son équipe à Rideau Cottage lundi matin à Ottawa, Justin Trudeau a annoncé son intention de démissionner de son poste de chef du Parti libéral du Canada (PLC) et de premier ministre, une fois que le parti aura élu son prochain chef.
Trudeau, dont le premier des trois mandats à la tête du pays a débuté en novembre 2015, a également annoncé avoir obtenu du gouverneur général une prolongation du Parlement jusqu’au 24 mars.
La façon de réparer ce que les libéraux ont brisé est de tenir des élections pour élire des conservateurs sensés qui reprendront la promesse du Canada.
Suivez notre couverture en direct sur la démission de Justin Trudeau.
Pour le chef du Bloc québécois (BQ), Yves-François Blanchet, qui tenait une conférence de presse moins d’une heure après l’annonce de Justin Trudeau, les Québécois jugeront le bilan global du gouvernement libéral. Et je crains que ce procès ne soit dur, a-t-il déclaré.
C’est un gouvernement extrêmement centralisateur qui empiète systématiquement sur les capacités et les compétences du Québec et des provinces et qui ignore les exigences du Québec seul, mais aussi des [autres] provinces.
Entre autres flèches lancées contre le gouvernement Trudeau, Blanchet a critiqué la perte de dépenses publiques excessives ; des politiques d’immigration destructrices pour le Québec; et un refus obstiné de remplir ses obligations envers ses alliés et partenaires, dans un contexte géopolitique inquiétant.
Le chef du Bloc québécois a déclaré vouloir que les élections générales se tiennent le plus temporairement possible. Selon ses mots, un vote qui aura lieu peu après la reprise du Parlement le 24 mars.
Les chefs de l’opposition à la Chambre des communes se sont empressés de déclencher des élections après que Justin Trudeau a annoncé sa démission prochaine de son poste de premier ministre et chef du Parti libéral du Canada. Selon Pierre Poilievre, la famille libérale cherche désormais à « tromper les électeurs ». Le reportage par Valérie Gamache.
De son côté, le chef du Nouveau Parti démocratique (NPD), Jagmeet Singh, a déclaré que le problème ne se résumait pas à Justin Trudeau et que les libéraux ne méritaient pas une autre chance, quel que soit leur chef.
Pour le chef du NPD, qui tenait une conférence de presse cet après-midi, Trudeau et les libéraux ont trahi les Canadiens : ils les ont abandonnés face à la flambée des prix de l’immobilier et à la crise des soins de santé.
Le chef néo-démocrate a soutenu en outre que les libéraux avaient permis aux grandes entreprises de faire passer leur cupidité avant les besoins de la population.
On voit très bien qui il [Pierre Poilievre] va représenter : les gens qui sont riches.
M. Singh, qui se dit en mesure d’empêcher les conservateurs de Pierre Poilievre de participer à la guerre électorale à venir cette année, a déclaré que le chef conservateur ne semblait pas en mesure de répondre aux questions des médias lundi. Cependant, le chef du NPD a déclaré que M. Poilievre a rencontré plus d’une centaine de lobbyistes d’entreprise au cours des deux dernières années et a recueilli des budgets auprès de personnes incroyablement riches.
Dans un communiqué publié lundi, la chef du Parti vert, Elizabeth May, a déclaré que l’annonce du départ de Trudeau non seulement n’avait surpris personne, mais que la baisse de l’aide à ce dernier avait semblé être un exercice qui avait déraillé et qui avait déraillé. depuis le 16 décembre.
C’est douloureux à voir, a poursuivi May, qui a rappelé qu’en 2011, lorsque le PLC a perdu le prestige de l’opposition officielle aux élections générales, Justin Trudeau était très réticent à participer à la course à la direction.
Le député de Papineau s’est retrouvé dans un coin retiré de la Chambre, assis à côté de moi, le premier député vert, et des quelques élus restants du Bloc québécois, avec ses 4 députés, écrit Elizabeth May.
Si quelqu’un comprenait ce que cela signifierait pour ses enfants d’être premiers ministres, c’était bien Justin Trudeau, lui-même fils d’un premier ministre.
Selon Mme May, Justin Trudeau, qui avait choisi de devenir enseignant, n’avait jamais été préparé à marcher dans les traces de son père (NDLR : Pierre Elliott Trudeau, premier ministre du Canada de 1968 à 1979 et de 1980 à 1984).
Même si elle s’est dite attristée par les promesses non tenues des libéraux de Justin Trudeau, Elizabeth May a remercié ces derniers pour l’aide apportée à son pays.
La Chef nationale de l’Assemblée des Premières Nations (APN), Cindy Woodhouse Nepinak, a réagi lors d’une conférence de presse à l’annonce du départ prochain de Justin Trudeau : Au cours de sa décennie au pouvoir, le premier ministre Trudeau a pris des mesures importantes pour s’attaquer à des questions d’une importance extraordinaire. aux Premières nations.
À cette fin, Mme Nepinak a cité l’adoption de la Loi sur la Déclaration des Nations Unies sur les droits des peuples autochtones, une étape vers l’alignement du droit canadien sur les droits et l’autodétermination des Premières Nations.
Mais il reste encore beaucoup à faire, a déclaré le chef de l’APN, notamment en matière de services à l’enfance, où une profonde réforme s’impose. En octobre dernier, les dirigeants des Premières Nations du Canada ont rejeté une proposition d’accord de 47,8 milliards de dollars sur 10 ans avec le gouvernement fédéral pour réformer le système de protection de l’enfance autochtone.