Le caucus libéral a « abusé de la bienveillance » de Trudeau, selon Marc Miller

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Les flammes se sont propagées temporairement et ont détruit 1 400 hectares en moins de deux heures.

Les partenaires impliqués dans cette mission ont de l’argent pour la financer, a-t-il précisé.

Cette mesure s’inscrit dans le cadre des décisions anti-immigration draconiennes prises par Donald Trump.

La démission de la vice-première ministre et ministre des Finances Chrystia Freeland a été un moment immensément critique pour le premier ministre, selon Marc Miller. Voir un lieutenant d’une telle envergure quitter d’une telle façon, ça ébranlerait n’importe qui, confie-t-il.

Cependant, Justin Trudeau n’est pas un écologiste envieux, dit le ministre Miller. Franchement, je le serais, a-t-il dit. Mais il a la capacité de pardonner aux gens.

M. Miller croit que son chef a pris la meilleure décision en écoutant les voix de plus en plus nombreuses et publiques qui réclamaient son départ. Ça a été difficile, [Justin Trudeau] est un être humain, avoue-t-il. Si on n’a pas de regret, si on n’a pas de remords, ça veut dire qu’on n’a pas d’émotions.

Si le premier ministre regrette quelque chose, c’est d’avoir mieux contrôlé la discorde au sein du Parti libéral, admet le ministre Miller.

Les guerres internes lui ont causé le pire, a reconnu Justin Trudeau lui-même lundi dernier. Il a compris qu’il ne mènerait peut-être pas cette guerre sur deux fronts, c’est-à-dire avec la plus grande crainte de ce qui nous attend avec les États-Unis. mais aussi cette discorde interne », résume le ministre.

La politique est ingrate. Mais je pense qu’il y a une autre raison : la peur pour notre pays.

Le ministre Miller affirme qu’il sera le candidat choisi par les membres du Parti libéral, mais bon nombre d’entre eux ne sont pas faits pour faire campagne.

Beaucoup de gens pensent qu’ils pourraient faire une bonne job comme premier ministre. Mais ils sont exécrables pour faire la job de devenir premier ministre, explique M. Miller.

Il faut du courage pour être leader, il en faut pour être député. Mais il faut beaucoup de courage pour être premier ministre du Canada.

Les critiques envers le Parti libéral du Canada ne disparaîtront pas automatiquement avec l’arrivée d’un nouveau chef, admet Marc Miller. Toutefois, selon lui, le legs de Justin Trudeau va au-delà du climat actuel qui plombe la politique canadienne. Je pense que l’histoire va en juger mieux que je le pourrais.

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