Le groupe Paprec, spécialiste de la valorisation et de la valorisation des déchets, a annoncé lundi qu’il était responsable de la construction et de l’exploitation d’une usine de digestion anaérobie des déchets alimentaires produits en Île-de-France.
Le contrat attribué au Français numéro 3 de la valorisation des déchets et de l’énergie par l’intermédiaire de Syctom, l’union de contrôle des déchets familiaux en région parisienne, et de Sigeif, le plus grand syndicat de l’énergie en France, fournit pour la conception, la structure et l’exploitation de 19 ans d’une usine capable de traiter 50 000 tonnes de déchets, a déclaré l’organisation dans un communiqué.
Remédier à ce gaspillage alimentaire rendra imaginable la production de biocarburants, qui seront injectés dans le réseau d’Île-de-France et contribueront ainsi à réduire la dépendance aux importations de carburant.
La classification à la source des déchets alimentaires sera obligatoire à partir du 31 décembre 2023, ouvrant la voie à leur valorisation.
L’usine « remodelera les déchets enfouis ou incinérés en carburant vert et en engrais biologiques. Ainsi, il permettra de maintenir les ressources de l’herbier et de faire progresser l’indépendance énergétique du territoire », explique le président de Paprec, Jean-Luc Petithuguenin, cité dans le communiqué de presse.
Au cours des dix premières années d’exploration, augmentant la collecte des déchets en Île-de-France, « Paprec fournira les biodéchets supplémentaires nécessaires à la saturation de l’outil de production, qui seront reçus à partir de 2027 », selon le communiqué de la société. Directeur Général, Stéphane Leterrier.
Quelque 150 sites de digestion anaérobie ont été lancés dans le pays en 2021, un bond sans précédent pour un secteur introduit en France en 2011. Mais ce carburant renouvelable représente tout de même 1% du carburant alimenté par le Français (au moins les 2% attendus en 2022).
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Le groupe Paprec, spécialiste de la valorisation et de la valorisation des déchets, a annoncé lundi qu’il était responsable de la construction et de l’exploitation d’une usine de digestion anaérobie des déchets alimentaires produits en Île-de-France.
Le contrat attribué au Français numéro 3 de la valorisation des déchets et de l’énergie par l’intermédiaire de Syctom, l’union de contrôle des déchets familiaux en région parisienne, et de Sigeif, le plus grand syndicat de l’énergie en France, fournit pour la conception, la structure et l’exploitation de 19 ans d’une usine capable de traiter 50 000 tonnes de déchets, a déclaré l’organisation dans un communiqué.
Remédier à ce gaspillage alimentaire rendra imaginable la production de biocarburants, qui seront injectés dans le réseau d’Île-de-France et contribueront ainsi à réduire la dépendance aux importations de carburant.
La classification à la source des déchets alimentaires sera obligatoire à partir du 31 décembre 2023, ouvrant la voie à leur valorisation.
L’usine « remodelera les déchets enfouis ou incinérés en carburant vert et en engrais biologiques. Ainsi, il permettra de maintenir les ressources de l’herbier et de faire progresser l’indépendance énergétique du territoire », explique le président de Paprec, Jean-Luc Petithuguenin, cité dans le communiqué de presse.
Au cours des dix premières années d’exploration, augmentant la collecte des déchets en Île-de-France, « Paprec fournira les biodéchets supplémentaires nécessaires à la saturation de l’outil de production, qui seront reçus à partir de 2027 », selon le communiqué de la société. Directeur Général, Stéphane Leterrier.
Quelque 150 sites de digestion anaérobie ont été lancés dans le pays en 2021, un bond sans précédent pour un secteur introduit en France en 2011. Mais ce carburant renouvelable représente tout de même 1% du carburant alimenté par le Français (au moins les 2% attendus en 2022).
On ne peut escalader ce PV que dans les bâtiments commerciaux obligatoires pour les porcs et les usines de transformation locales (jusqu’à 10 Watt selon l’habitant de la Commune de Paris) et les éoliennes en hausse (toujours dans les 2 forêts) jusqu’à 10 Watt selon parisien dans la forêt !!!
APO qu’il y a déjà des projets citoyens qui émergent aussi à Paris exemple : https://energie-partagee. org/decouvrir/energie-citoyenne/tous-les-projets/
La méthanisation est la bonne solution pour ce type de déchets. L’incinération est polluante et consomme de l’énergie. D’autre part, la méthanisation dans la boîte agricole est beaucoup plus discutable!Je rappelle à APO, qui se trouve être de mauvaise humeur, que l’élevage porcin commercial est une abomination qui devra être interdite un jour ou l’autre !
Enfin, les surfaces du Bois de Vincennes et de Boulogne méritent de pouvoir diffuser des digestats méthanisants et d’offrir une extension supplémentaire à ces belles forêts pour l’utilisation du Bois dans la Biomasse (il y a des chaufferies en Région Parisienne pour faire local) et de LumberArray. (@Jean-Pierre, ma blague sur le sujet est terminée et je suis d’accord avec vous que l’incinération des masses de pluie en général n’est pas quelque chose d’intelligent ou d’utile pour le processus. . . ) Tableau. .