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Huit ans après sa première investiture, Donald Trump a été assermenté au Capitole de Washington.
Le nouveau pouvoir en Syrie a félicité le président américain Donald Trump après son investiture, voyant en lui le dirigeant qui apportera la paix au Moyen-Orient.
Je félicite M. Donald J. Trump, a écrit dans un communiqué le dirigeant syrien Ahmad al-Chareh, estimant que son élection témoigne de la confiance accordée par le peuple américain à son leadership.
« Nous pensons qu’il sera le leader qui apportera la paix au Moyen-Orient et restaurera la stabilité dans la région », a-t-il ajouté.
« Nous espérons que les relations entre nos deux pays seront basées sur la discussion et la compréhension », a poursuivi Chareh, appelant à un partenariat qui reflète les aspirations des deux nations.
Environ 2 000 soldats américains, selon le Pentagone, sont déployés dans le nord de la Syrie dans le cadre d’une coalition étrangère opposée aux djihadistes.
Les États-Unis sont également les Forces démocratiques syriennes (FDS), un groupe dirigé par les Kurdes. La Turquie, qui considère les FDS comme une organisation terroriste, espère que la nouvelle administration Trump mettra fin et retirera les troupes américaines de Syrie.
AFP
Lors de sa conférence de presse improvisée dans le Bureau ovale, le président Donald a assuré que le Danemark allait se faire à l’idée d’abandonner le Groenland aux États-Unis.
AFP
L’âge d’or de l’Amérique commence, a déclaré Donald Trump aux journalistes dans le Bureau Ovale. « Dieu m’a gardé pour rendre à l’Amérique sa grandeur », a-t-il déclaré, faisant référence au meurtre dont il était victime cet été.
Le déclin de l’Amérique est fini, a assuré le républicain.
Il a promis d’affronter une élite corrompue et radicale.
AFP
Trump a promis d’éliminer les politiques pro-transgenres, affirmant que les États-Unis ne reconnaîtront que deux sexes, masculin et féminin, expliqués à la naissance, et que l’aide fédérale pour donner vie à la diversité sera également éliminée.
À partir d’aujourd’hui, la politique officielle du gouvernement des États-Unis sera qu’il n’y ait que deux sexes, mâle et femelle, a-t-il déclaré lors de son investiture à Washington. Ces sexes ne peuvent être remplacés et sont ancrés dans une réalité fondamentale et incontestable, ajoute un décret publié cet après-midi à la Maison Blanche, et qui doit être appliqué à travers toutes les agences fédérales.
Les fonds fédéraux ne doivent pas être utilisés pour promouvoir l’idéologie de genre, affirme le même décret, qui veut restaurer la vérité biologique.
Un autre texte ordonne la fin de tous les systèmes de diversité et d’inclusion au sein du gouvernement fédéral.
Agence France-Presse
Le premier ministre du Québec, François Legault, a réagi lundi soir aux propos de Donald Trump selon lesquels il envisageait d’imposer des tarifs à 25 % sur les produits en provenance du Canada et du Mexique à compter du 1er février.
Notre priorité demeure d’éviter ces tarifs. Le Québec collabore avec le fédéral sur la mise en place d’un plan de représailles costaud, a-t-il écrit sur son compte X, promettant de soutenir les entreprises de la province.
Il est dans l’intérêt des Américains de s’engager dans une guerre industrielle avec le Canada. Les deux pays seraient perdants et les Américains nuiraient à leur propre économie, a-t-il également déclaré.
Le président américain Donald Trump a déclaré qu’il devait remédier au déficit de l’industrie américaine avec l’Union européenne, en envisageant d’imposer davantage de droits de douane sur les importations européennes, comme il l’a fait dans le passé.
S’adressant aux journalistes dans le Bureau Ovale alors qu’il signait une série de décrets sur diverses questions, Donald Trump a déclaré que le déficit pouvait également être éliminé grâce à de nouveaux achats européens de pétrole et de gaz. Américains.
Ils sont très durs, dit-il à propos des Européens. Ils ne prennent pas nos voitures. Ils ne prennent pas nos produits agricoles. Ils ne prennent presque rien. Nous le ferons, soit avec des listes de prix douaniers, soit en les obligeant à acheter notre pétrole et notre gaz, a-t-il ajouté.
En amont de son retour à la Maison-Blanche, Donald Trump a dit vouloir imposer des droits de douane importants sur les importations aux États-Unis, notamment les produits chinois.
S’il a évoqué lundi après-midi l’option de créer une taxe douanière universelle, il l’a immédiatement retardée, soulignant que les Etats-Unis ne sont pas encore en mesure d’adopter une telle mesure.
Avec de Reuters
Le président Donald Trump a révoqué un décret de Joe Biden sanctionnant les colons israéliens accusés de violences contre les Palestiniens en Cisjordanie occupée, a annoncé la Maison Blanche.
A peine renversé, le président républicain a annulé le texte publié en février 2024, et qui avait été la condition préalable à des sanctions pécuniaires visant plusieurs colons, ajoutant un individu accusé d’en avoir fomenté une dans la ville palestinienne de Huwara, au sud de Naplouse, entraînant la mort d’un civil palestinien.
A cette époque, Joe Biden dénonçait la violence insupportable des colons israéliens, un risque grave pour la paix, la sécurité et la stabilité de la région.
Israël occupe la Cisjordanie depuis 1967 et les violences ont explosé dans ce territoire palestinien depuis le début de la guerre entre Israël et le mouvement islamiste Hamas à Gaza, en octobre 2023.
Compte tenu de la construction d’actes de violence commis par des colons armés, plusieurs pays occidentaux ont pris des sanctions opposées à plusieurs colons décrits comme des extrémistes.
Avec les informations de l’Agence France-Presse
À quelques jours de quitter son poste, Joe Biden avait retiré Cuba de la liste des pays soutenant le terrorisme. Cette décision surprise du démocrate avait pour but d’encourager la libération de prisonniers politiques détenus sur l’île communiste, selon la Maison-Blanche. Dans la foulée, La Havane avait annoncé la libération prochaine de 553 prisonniers.
Depuis lors, un général de 127, ajoutant le dissident historique José Daniel Ferrer, sur la base de cet accord négocié avec le Vatican.
Lundi, le président Donald Trump, qui vient d’entamer son deuxième mandat, a annulé la résolution de son prédécesseur dans un décret. Cuba a réagi en qualifiant cette résolution d’acte d’arrogance et de mépris de la vérité.
Ce n’est pas surprenant. Son but [pour Donald Trump] va au-delà de la guerre économique impitoyable opposée à Cuba aux effets de la domination », a réagi le président cubain Miguel Diaz-Canel à X.
Le nouveau chef de la diplomatie américaine, Marco Rubio, avait estimé la semaine dernière que Cuba avait toute sa place sur cette liste noire de Washington, préfigurant la décision du président Trump.
Quelques jours avant de céder le pouvoir à Joe Biden en janvier 2021, Donald Trump avait pris la décision de placer Cuba sur cette liste où figurent aussi la Corée du Nord, l’Iran et la Syrie.
Avec l’agence France-Presse
Les ministres fédéraux Mélanie Joly et Dominic LeBlanc ont tenu une brève conférence de presse lundi soir après les commentaires imprévus de Donald Trump sur leur objectif d’imposer 25% de listes de prix au Canada et au Mexique à partir du 1er février. À l’heure actuelle, le président n’imposera pas de listes de prix à ses deux voisins, qu’il accuse de pratiques industrielles et financières déloyales telles que la Chine, sans proposer de preuves.
Franchement, il n’y a rien de nouveau dans ce que le président a dit, a laissé tomber le ministre des Finances, Dominic LeBlanc, soulignant le caractère imprévisible du 47e président des États-Unis. La bonne nouvelle, a-t-il enchaîné, c’est que le gouvernement Trudeau prépare un plan de riposte aux éventuels tarifs américains depuis plusieurs semaines, se disant prêt à toute éventualité.
Ottawa a également présenté un plan de 1,3 milliard $ pour surveiller sa frontière avec les États-Unis, mener des consultations afin de calmer les considérations de Donald Trump et d’éviter d’être un problème avec ses tarifs de 25 %. migration.
Donald Trump vient de signer un décret visant à retirer les États-Unis de l’Organisation mondiale de la santé (OMS). Les dangers du mouvement sapent la position du pays en tant que leader mondial du fitness et compliquent les efforts concertés entre les pays du monde pour lutter contre une pandémie à long terme, dit Mavens.