Administration Trump
Trump Administration
L’administration Trump
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In his second inaugural address, the president reprised dark themes from his first and laid out an expansive policy agenda.
transcription
« Que Dieu me soit en aide. » Que Dieu me soit en aide. « Félicitations, Monsieur le Président. » L’âge d’or de l’Amérique commence dès maintenant. Tout d’abord, je vais déclarer une urgence nationale à notre frontière sud. À partir de maintenant, nous allons convertir l’appel du golfe du Mexique en golfe d’Amérique. La Chine exploite le canal de Panama, et nous ne l’avons pas donné à la Chine. Nous l’avons donné au Panama et nous allons le récupérer. À partir de maintenant, la politique officielle du gouvernement américain sera qu’il n’y a que deux sexes : masculin et féminin. [chantant : « U. S. A. U. S. A. « ] « J’allais leur parler des otages du J6. Mais soyez satisfaits parce que, vous savez, c’est l’action qui compte, pas les mots. Et vous allez voir beaucoup d’action. Merci à tous. Je l’en remercie beaucoup.
Par Michael D. Shear
Rapports de Washington
If his first inaugural address was a relentlessly dark vision of “American carnage,” President Trump made his second one a paean to the power of one person’s ability to rescue a nation — specifically his.
The 47th president’s 29-minute address on Monday, just after noon, painted an even bleaker portrait of a country in disarray, one seized by “years of a radical and corrupt establishment,” with the pillars of society “broken and seemingly in complete disrepair.” America, he said, “cannot manage even a simple crisis at home, while at the same time stumbling into a continuing catalog of catastrophic events abroad.”
Il s’agit d’une évaluation trompeuse et incomplète d’un pays qui a une économie en développement, avec l’inflation à l’automne, une décélération de l’immigration illégale, un marché boursier qui bat les enregistrements, les niveaux les plus bas de crimes violents depuis des années et une armée qu’elle a une limite Participation aux conflits dans le monde entier. .
De cette façon, c’est un discours qui, au cœur de M. L’attrait politique de Trump : convaincre ses partisans que lui – et lui seul – peut réparer ce qui afflige (ou ne fait pas) mal le pays. Et cela représente un retour à la façon dont il avait planifié sa première présidence : comme un combat constant contre les ennemis, tant internes qu’externes.
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