Bien sûr, « Donald » a déclaré que le Groenland doit acquérir, pour transformer le Canada en État 51 et que les soldats d’infanterie chinois «exploitent le canal de Panama», cependant, tout n’est pas du pessimisme . . . non?
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In the Chinese zodiac, 2025 is the year of the snake. Rather fittingly, it is also the year that Donald Trump will slither his way back into the White House (which may prove venomous for the whole world).
Since the US election result was called, back in November, there has not been the same sense of profound shock that accompanied Trump’s first presidential win. Then, it seemed impossible that a man with no political experience – and who seemed so patently objectionable on almost every level – could win the White House. This time, for all the late hope that Kamala Harris brought to the Democratic Party ticket, a Trump win felt inevitable.
If you are a progressively-minded individual living in the US, there is an immediate and visceral materiality to deal with, as “The Donald’s” inauguration approaches. For those of us living across the pond, the thought of Trump in the presidential hotseat may not be less gruesome, but its impact is not quite so direct. Either way, how should we best handle the nagging fear of what might be to come?
Une option est simplement d’être aussi productif que possible pour oublier tout. Selon le dernier rapport d’actualité numérique de l’Institut Reuters, un peu moins de 40 % des personnes internationales rapportent les nouvelles de manière sélective au moins de temps en temps.
Lorsque tant de choses sombres se produisent, ce n’est pas surprenant, surtout lorsque beaucoup de mauvaises nouvelles que nous voyons ou lisons sont hors de notre contrôle. Les catastrophes climatiques, les problèmes économiques, les guerres effrayantes et la corporatisation générale de l’humanité à travers des milliardaires peuvent nous faire sentir comme si nous avions peu de capacité d’action. Dans ce cas, il n’est peut-être pas plus productif de ne pas penser aux problèmes mondiaux et seulement ce qu’il y a pour prendre du thé ou le nombre d’oiseaux que vous pouvez voir depuis la fenêtre.
Another possibility, when it comes to Trump, is to convince yourself that it won’t be as bad as some of the worst doom-mongers would have it. You can look at his first term through narrowed eyes and note that the US – and the rest of the world – survived it.
Bien sûr, il a diffusé de nombreuses informations incorrectes sur une grande variété de problèmes, n’a pas changé la situation économique et ses partisans ont participé aux perturbations du Capitole. Mais eh bien, il n’a pas envahi le Canada, donc il n’était pas aussi sombre que tout ce tableau.
Bien sûr, il existe de nombreux commentateurs qui vous diront que même si vous regardez à travers l’épiceur rose maximal constitutionnel du plus haut ordre). Et si vous êtes canadien, panaméen ou Groenland, il est probablement difficile de se sentir super mieux dans la douceur des déclarations de Trump récentes. Même ainsi, nous pouvons être positifs et supposer que tout est une rhétorique idiote, non?
Le numéro 3 de l’option est l’inverse: supposons le pire. Ce n’est peut-être pas le moyen de donner un rêve calme et sans rêve au cours des prochaines années. Mais au moins, il est prêt pour tous les maux qui sont forgés sur Terre à travers Trump et ses hommes de main.
Allez à votre bunker, fermez la porte et, pendant que vous mangez votre spam quotidien, vous pouvez passer du temps pour obtenir tous ces livres que vous avez eu dans votre testament devoir énumérer pour Yonks. À la fin de 2028, lorsque vous avez terminé avec Catch-22, pour tuer un rossignol et tout le reste, vous pouvez ouvrir avec prudence les stores et voir les dégâts. (Si vous localisez ensuite que Donald Trump Jr est en charge, Elon Musk et l’AFD créant des colonies AI sur la lune, il peut toujours retourner à l’intérieur.
La dernière option est de faire face à une vérité potentiellement difficile avec un sourire stoïque et de vérifier que tout ce que Trump n’est pas: compatissant, honnête, calme et décent. Ne faites pas de déclarations précipitées, inspirez les autres, recherchez l’unité et la division de guérison. En résumé, ils n’adhèrent pas à l’exemple du type qui est dirigé vers la Maison Blanche, mais deux en fait, les merveilleux Américains, Bill et Ted, qui ont sûrement fait quand ils ont dit que la clé n’était que « être correct à un un autre. » (Et « fête », bien sûr).
If the rest of us can make the world a kinder place in this year of the snake, perhaps even a reptile the size of Trump can be charmed into doing the right thing.
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