Les études et analyses techniques se poursuivront sur le site du Tricastin (Drôme), qui a envisagé une autre option, a indiqué la présidence française, tandis que le site pourrait accueillir d’autres réacteurs ultérieurement.
Emmanuel Macron a annoncé l’an dernier qu’il cherchait à renouveler le parc nucléaire français, avec six nouveaux réacteurs (EPR2) et potentiellement 8 réacteurs supplémentaires, pour un premier démarrage jusqu’en 2035. Ce projet, d’un coût total de 52 milliards d’euros selon un devis annoncé au début de l’année dernière, est la structure de six réacteurs sur trois sites existants : deux à Penly (Seine-Maritime), deux à Gravelines (Nord) et donc deux au Bugey.
Aucun point principal n’a été fourni sur le financement à l’Elysée. S’exprimant la semaine dernière lors d’une audition à l’Assemblée nationale, le ministre de l’Economie et des Finances a déclaré que l’orientation du financement devra être précisée jusqu’à la fin de 2024. « Le Parlement sera concerné dans cette résolution par le style de financement par la loi de finances ou un véhicule législatif ad hoc », a déclaré Bruno Le Maire, rappelant qu’EDF pourrait tout simplement ne pas financer seul les nouveaux réacteurs.