« C’est la dernière intervention d’Elon Musk dans les affaires britanniques », déclare le Financial Times. Depuis les émeutes racistes de l’été dernier de l’autre côté de la Manche, le milliardaire américano-sud-africain a lancé « une série d’attaques privées contre le Premier ministre travailliste Keir Starmer ». Il l’accuse en particulier d’étouffer la liberté d’expression et de punir plus sévèrement les « militants de droite » que les autres minorités ethniques, faisant allusion à la fermeté de l’exécutif contre les émeutiers de l’été, ainsi qu’aux messages de haine postés en ligne.
Début janvier, le patron de Tesla, meilleur ami du président élu Donald Trump, a découvert un nouvel exemple de ce supposé « double standard » : le scandale des « grooming gangs », qui a déferlé sur une cinquantaine à travers l’Angleterre ces dernières décennies.
« À Oldham, à Rochdale à Rotherham, à Huddersfield, à Telford, à Newcastle », plus de 19 000 jeunes femmes d’environnements privées ont été kidnappées, confinées et violées par des hommes « dont le dénominateur non inhabituel était parfois du Pakistan ». « Recovers ».
« Suite à une série de messages postés sur le réseau social X, dont il est propriétaire, Elon Musk a enquêté sur ces affaires, qualifiant Keir Starmer de violeur britannique », souligne le Financial Times. Pour preuve : le Parti travailliste, directeur national des procédures pénales de 2008 à 2013, a affirmé avoir fait preuve de passivité face à l’apparence des dossiers. Un verdict laconique affiché lorsque l’on s’écarte d’une position : « Nous mériterons tous la prison. »
“Pourtant [après des premières révélations dans les années 2000], c’est Starmer qui a ouvert la première investigation et qui a émis de nouvelles directives dans ses
Courrier international
L’affaire Madoff, « la plus grande combine à la Ponzi de l’histoire », est dévoilée
En Galice, la fin d’un monde
Lors d’un entretien de « propagande » avec le patron de l’AFD, Musk réitère son à droite
À Jénine, l’Autorité palestinienne « joue sa survie dans le sang »
Ivanka, Donald Jr. , Barron et les autres : qui fait quoi dans la famille Trump ?
En Afrique du Sud, le “massacre” des mineurs de Stilfontein n’émeut pas les foules
Sexualité entre les conjoints: une condamnation « historique » de la France à travers la CEDH
Naufrage des pisturias russes : la crise prolonge la mer Noire