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Notre envoyée spéciale a pris le pouls des opposants de Donald Trump en ce lundi d’investiture à Washington.
Il s’agit d’un bâtiment moyen observé sur 30 ans au Québec.
Le président républicain a signé un décret graciant quelque 1 500 accusés ou leur peine.
Si les conservateurs sont élus, le Québec pourrait être privé des 1,44 milliards de dollars promis par Ottawa.
L’inflation a atteint des niveaux records sous l’administration de Joe Biden.
Dès son arrivée sur scène, des manifestants pro-palestiniens alliés à leurs partisans ont perturbé la cérémonie en se faisant entendre haut et fort, puis les ont escortés hors du rassemblement.
Une fois le calme rétabli, la candidate à la chefferie du Parti libéral du Canada s’est posée comme la meilleure candidate pour affronter Donald Trump, qui menace d’imposer des tarifs douaniers de 25 % sur les importations canadiennes et de recourir à la force économique pour annexer le Canada.
Notre pays est exposé à ce qui pourrait bien être une menace existentielle, a déclaré l’ancien ministre des Finances, qui a rappelé qu’il avait déjà contrôlé pour négocier avec le président américain en 2018 avec le même encouragement à réussir dans les États Canada-Mexique. (ACEUM) Accord.
Donald Trump sait exactement qui je suis. Il y a une raison pour laquelle il ne m‘aime pas beaucoup : la dernière fois qu’on s’est retrouvés face à face, je me suis battue pour le Canada. Et nous avons gagné.
Après Mark Carney, c’est le tour de Chrystia Freeland et Karina Gould de libérer officiellement sa croisade pour la direction du Parti libéral du Canada. Le discours de l’ancien ministre des Finances a été interrompu à plusieurs reprises par des militants pro-palestiniens. Laurence du rapport Martin.
C’est ma promesse : si vous me considérez comme le chef du Parti libéral et le premier ministre, je dirigerai une véritable réaction canadienne face au risque auquel nous sommes confrontés. Nous serons unis, nous serons forts et nous serons intelligents. C’est pourquoi nous gagnerons, a-t-il ajouté.
Aujourd’hui, j’ai un message pour le président Trump : [. . . ] Nous n’avons pas besoin de vous combattre, mais si le combat arrive à nos portes, nous aimons notre pays autant que vous aimez le vôtre. Si vous nous frappez, nous le ferons. il. retour. [. . . ] Nous vous infligerons le plus grand coup publicitaire que les États-Unis aient jamais subi, a-t-il déclaré au parlementaire libéral.
Elle a également vanté quelques-unes de ses réalisations en tant que ministre, notamment la négociation d’un accord commercial avec l’Union européenne, la mise en œuvre du programme fédéral de garderies à 10 $ par jour ou encore la gestion de la pandémie de COVID-19.
Freeland a utilisé la libération de la croisade pour dénigrer les conservateurs, qualifiant Poilievre de leader faible qui ne s’opposera jamais à Trump.
De plus, le parlementaire s’est engagé à se présenter aux prochaines élections fédérales, même si elle a subi une défaite dans cette carrière de leadership. Tous les candidats à la direction prennent le même engagement. Lors des prochaines élections, tout le monde devra participer, a-t-il dit, a-t-il dit. .
Chrystia Freeland a de nouveau rencontré des manifestants qui l’ont empêchée de prononcer son discours, retardant ainsi l’heure de la réunion.
La protestation est importante et nous vivons dans un pays libre. Les gens sont libres d’exprimer des points de vue divergents. Ce qui n’est pas acceptable, c’est d’empêcher d’autres personnes d’exprimer leur point de vue. […] Nous ne laisserons personne perturber notre démocratie, a-t-elle affirmé.
J’ai peur et je vais reculer.
Nous ne laisserons personne étouffer notre voix […]. Maintenant, c’est le moment de lancer notre campagne. C’est le moment de se battre pour le Canada, a-t-elle lancé.
Au cours des plus de 15 mois, nous avons essayé de chacune des façons imaginables de réussir dans [Chrystia Freeland] et de le tenir responsable de la complicité du Canada dans la violence israélienne « , ont écrit les manifestants dans un communiqué de presse.
« Nous empêcherons cela jusqu’à ce que le Canada mette fin à son aide militaire à Israël [et] rompe ses liens diplomatiques avec Israël », ont-ils ajouté.
Dans une lettre publiée vendredi dans les pages du Devoir et du Toronto Star, la députée du quartier universitaire arriéré de Toronto avait déjà montré qu’elle serait dans les rangs.
Mark Carney, ancien gouverneur de la Banque du Canada, et Karina Gould, chef du gouvernement libéral à la Chambre des communes, sont également dans le parti, entre autres candidats.
Le premier a obtenu un triomphe important de Mélanie Joly, ministre des Affaires étrangères, qui a déclaré qu’il pensait que son histoire économique fait de lui le candidat le plus productif pour gérer les relations avec Donald Trump.
Comme ses partis rivaux, Mark Carney et Karina Gould, Chrystia Freeland abandonnerait, si elle était élue, la taxe carbone sur les particuliers, une mesure environnementale clé du gouvernement libéral.
Les ministres Dominic LeBlanc, Mélanie Joly et François-Philippe Champagne ont quant à eux décidé de ne pas briguer la chefferie, préférant se concentrer sur leur rôle au sein du Cabinet et sur la gestion des relations avec la nouvelle administration Trump.
La course à la direction du Parti libéral du Canada prendra fin le 9 mars. Les travaux du Parlement seront prolongés jusqu’au 24 mars.
Chrystia Freeland a fermement fermé la porte du placard il y a un mois, les faisant sortir des désaccords avec le Premier ministre Justin Trudeau.
En entrevue à LCN vendredi, cet ancien allié de Trudeau a expliqué que les chèques électoraux de 250 $ promis par l’intermédiaire du premier ministre – finalement écartés de l’énoncé économique – étaient la goutte d’eau de trop qui l’a poussé à démissionner. .
Selon Freeland, le Canada mérite de maintenir des réserves monétaires pour contrer les menaces de Trump sur les prix.
Peu avant sa démission, M. Trudeau lui avait annoncé son intention de la remplacer aux Finances une fois l’énoncé économique passé. La ministre a plutôt fait un coup d’éclat en démissionnant le matin même de la présentation de l’énoncé économique.
Le premier ministre lui avait présenté un poste de vice-premier ministre et lui avait présenté un poste de ministre sans portefeuille pour gérer les relations entre le Canada et les États-Unis. Mais Freeland craignait d’avoir les mains libres dans cette position pour affronter la nouvelle administration Trump.
Journaliste par le commerce, Chrystia Freeland est entrée à la Chambre des communes après une élection au centre de Toronto en 2013.
À l’arrivée au pouvoir des libéraux, deux ans plus tard, elle s’est rapidement imposée comme une figure de proue du gouvernement Trudeau, d’abord comme ministre du Commerce international. En 2017, elle est devenue ministre des Affaires étrangères.
Il a ensuite dû faire face à la gestion de Donald Trump, qui avait imposé une renégociation de l’industrie Floy d’Amérique du Nord (Alena). Le nouvel accord, appelé aceum, ratifié pour prendre en 2018, contenait des bénéfices sûrs pour le Canada, le marché canadien a toujours été ouvert aux producteurs américains, ce qui a fait trembler plusieurs agriculteurs.
Les années qui ont suivi ont cimenté son rôle de bras droit de Justin Trudeau. En 2019, elle n’a obtenu que le poste de ministre des Affaires intergouvernementales et également celui de vice-première ministre du pays.
Un an plus tard, elle prend la tête du ministère des Finances, la première femme à accéder à ce poste, considéré comme le maximum vital au Conseil des ministres.
Cette série de promotions a rendu encore plus dramatique la rupture entre Freeland et Trudeau, à l’origine de la crise politique que traverse le gouvernement libéral depuis fin 2024.
Avec Jean-François