Le Canada atteindrait ses cibles de VZE malgré la disparition de la remise fédérale

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Notre correspondant a pris le pouls aux côtés auxquels Donald Trump a été confronté ce lundi lors de l’inauguration à Washington.

Le président républicain a signé un décret pour gracier quelque 1500 inculpés ou commuer leurs peines.

Il s’agit d’un bâtiment moyen qui n’a jamais été remarqué depuis 30 ans au Québec.

Si les conservateurs sont choisis, le Québec pourrait être désavantagé des 1 440 millions de dollars promis par Ottawa.

L’inflation a atteint des sommets records sous Joe Biden.

Ottawa a annoncé lundi qu’il était à court de son budget pour ces rabais, qui peuvent être achetés sur des voitures électriques jusqu’à concurrence de 5 000 $, et que le programme ne sera pas prolongé pour le moment.

Or, le gouvernement fédéral a exigé que les véhicules légers à zéro émission représentent 20 % de toutes les ventes de véhicules neufs au Canada d’ici 2026 ainsi qu’une part croissante chaque année par la suite. Les véhicules légers électriques doivent représenter 60 % des ventes de véhicules neufs d’ici 2030 au Canada et 100 % d’ici 2035.

Cara Clairman, fondatrice et PDG de Plug’n Drive, une organisation à but non lucratif qui promeut l’utilisation de véhicules électriques, n’est pas que la disparition des remises fédérales évite au Canada d’atteindre ses objectifs.

C’est ambitieux, mais je ne pense pas qu’il s’inscrira dans l’orientation générale que nous devons prendre.

Les marques automobiles canadiennes n’ont jamais soutenu ces objectifs de vente obligatoires et ont réitéré leur appel à leur abandon suite à la suspension du programme fédéral de réduction. Ils affirment que le Canada a mis du temps à construire son infrastructure de bornes de recharge, décourageant de nombreux consommateurs de choisir un véhicule électrique. Combinés au pic actuel de recharge des véhicules électriques, les objectifs du Canada sont irréalistes, affirment les marques.

La remise fédérale est devenue de plus en plus populaire depuis son introduction, en 2019, car l’intérêt des consommateurs pour les véhicules électriques et le nombre de modèles disponibles ont augmenté depuis.

Le gouvernement fédéral a déboursé 140 millions de dollars pour aider à l’achat de 33 911 voitures en 2019. Cependant, au cours des 11 premiers mois de 2024, Ottawa a déboursé 927 millions de dollars pour acheter plus de 191 000 nouvelles voitures électriques, selon la base des données du programme de Transports Canada. Les statistiques du programme pour décembre n’ont pas encore été publiées.

Les connaissances de Statistique Canada montrent que 13,5 % des immatriculations de véhicules automobiles neufs au Canada l’année dernière concernaient des véhicules entièrement électriques ou hybrides rechargeables, contre environ 10,6 % pour la même période en 2023 et 7,7 % en 2022.

Mme Clairman admet que la perte de ces remises pourrait faire un peu mal au début mais qu’elle ne ralentira pas les ventes pendant longtemps.

Les statistiques montrent qu’il a effectivement augmenté, et nous assisterons certainement à une légère baisse du caractère transitoire à cause de cela, mais il s’agira toujours d’une tendance générale à la hausse.

Le gouvernement fédéral a dépensé près de 3 milliards de dollars pour le programme de remises sur les véhicules électriques depuis sa création, et ce, en le renflouant à quelques reprises lorsqu’il manquait de fonds. Ainsi, l’an dernier, une somme de 607 millions de dollars a été ajoutée dans le budget 2024. En 2023, le programme avait versé près de 700 millions de dollars en remises.

Je pense que [le gouvernement fédéral] a laissé la porte ouverte à la recapitalisation du programme ou au transfert du budget du programme.

Bien que la transition vers les véhicules électriques se fasse avec ou sans remises, les incitatifs aident certainement les Canadiens et leur facilitent la vie pendant une période où nous sommes tous à court d’argent, estime Mme Kyriazis.

Plus de 111 000 de ces remises fédérales avaient été accordées à des Québécois jusqu’en novembre de l’année dernière, selon les données de Transports Canada.

Le gouvernement du Québec a réduit son propre incitatif à l’acquisition d’un véhicule électrique à 4 000 $ cette année, comparativement à 7 000 $ l’an dernier. Il a également annoncé en décembre que ce programme, appelé Roulez Vert, serait suspendu entre le 1er février et le 31 mars de cette année en raison de l’épuisement du budget. Le programme du Québec offrira 2 000 $ en 2026 et disparaîtra en 2027.

Alors que les ventes de véhicules électriques ont diminué en Ontario depuis que le gouvernement provincial a abandonné son programme de rabais en 2018, l’Ontario a classé la dynamique en fonction du nombre de rabais fédéraux obtenus dans toutes les provinces en 2023 et 2024, indiquant que les ventes ont été acquises au cours des dernières années. L’Ontario était à la traîne de la Colombie-Britannique en ce qui concerne les envois de fonds fédéraux globaux au cours des dernières années.

Tesla a continué à être le modèle de véhicule électrique le plus populaire au Canada l’année dernière, son modèle Y représentant 13 % de tous les véhicules ayant bénéficié de la remise fédérale jusqu’en novembre 2024. Le modèle 3 de Tesla en représentait plus de 6 %.

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